samedi 25 octobre 2008

Les Crypto-Juifs infiltrés au sein de l'eglise veulent censurer la Bible




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Pourquoi les Sionistes ne voudraient-ils pas prendre le contrôle de l’Église Catholique? Pourquoi ignoreraient-ils cette incroyable opportunité?

Avoir le contrôle d’une si grande église leur donnerait accès à des dizaines de millions d’enfants Goyim. Ils pourraient entraîner les Goyim à devenir des “Judéo-Chrétiens”, qui tuent des Musulmans pour Jésus.

En prenant le contrôle de l’Église Catholique, ils pourraient alors s’assurer que les responsables de l’église soutiennent Israël et qu’ils n’exposent jamais les crimes Sionistes.

Voici l'article publier sur le site du Monde(juif-sioniste) ce torchon fondamentaliste fanatique sioniste n'oserait jamais faire écho des écritures talmudistes fascistes qui glorifie le goy...

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Des évêques critiquent certaines interprétations actuelles de la Bible

Durant trois semaines, le synode, qui devait s'achever dimanche 26 octobre à Rome, a permis à 250 évêques du monde entier de s'interroger sur la meilleure manière de lire et de faire lire la Bible aux croyants. L'enjeu pour l'Eglise catholique est d'éviter le double écueil du fondamentalisme et du positivisme, dénoncé au fil des interventions.


Sans remettre directement en cause le travail d'exégèse critique et historique effectué sur les textes bibliques depuis le concile Vatican II, Benoît XVI a dénoncé les "problèmes et les risques de l'exégèse moderne". Il a ainsi mis en garde contre une lecture "scientifique et sécularisée" de la Bible, qui perdrait de vue la dimension théologique et spirituelle des textes. "Ceux qui font de l'exégèse pure risquent de considérer la Bible comme un livre du passé", a-t-il prévenu.

"Il faut conserver un travail complémentaire entre les exégètes et les théologiens", insiste Mgr Francis Deniau, l'un des évêques français présents au synode. Une nécessité rappelée par plusieurs évêques, inquiets d'un retour en arrière. D'autres ont aussi mis l'accent sur la dimension oecuménique et interreligieuse du texte biblique, notamment dans la perspective de meilleures relations avec les juifs et certaines communautés évangéliques.

Le synode a aussi constitué un forum pour des déclarations plus politiques. L'évêque du Burundi, Mgr Venant Bacinoni, a ainsi rappelé que, "parmi les populations qui doivent lutter au quotidien pour leur survie, beaucoup ne croient plus à la capacité de la parole de Dieu pour changer leur vie et se tournent vers les sectes". "Sur tous les continents, on a souligné avec force les dangers du fondamentalisme et de la prolifération cancéreuse des sectes", indique un rapport publié durant le synode.

L'archevêque nigérian d'Abuja a reconnu que "les relations entre chrétiens et musulmans (à quasi-égalité parmi la population du pays) représentent un défi constant". Plus délicate encore : la question religieuse dans le conflit israélo-palestinien. "Pour les juifs, et surtout pour certains religieux intégristes, la Bible est une sorte de cadastre délimitant les frontières d'Israël", a regretté Mgr Guy-Paul Noujaïm, un prélat maronite libanais. Le patriarche latin de Jérusalem, Fouad Twal, a aussi témoigné de la difficulté des chrétiens arabes à lire l'Ancien Testament "pour des raisons politiques et idéologiques".

Stéphanie Le Bars

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