dimanche 16 novembre 2008

Nouvelles persécutions contre Robert Faurisson




[Une lettre du Professeur Robert Faurisson.]


Nouvelle Perquisition chez le Prof. Faurisson !


Aujourd’hui, jeudi 13 novembre, à 6h15 du matin, deux officiers de police judiciaire (OPJ), venus la veille de Paris et accompagnés de deux (ou trois ?) policiers en uniforme, ont fait irruption à mon domicile non sans provoquer un fracas délibéré. Ma femme, qui est cardiaque, en a éprouvé une commotion dont je crains maintenant les suites. Pendant une heure et demie elle a été confinée dans une pièce, sous bonne garde, avec l’un de ses frères et l’épouse de ce dernier qui, cette nuit-là, se trouvaient à notre domicile et qu’en criant un policier s’est employé à faire sortir de leur lit.

Ce comportement de malotrus est d’autant moins admissible que les deux OPJ savaient le mauvais état de santé de ma femme. Ils avaient déjà perquisitionné mon domicile le 24 janvier de cette année. Ce jour-là, placé en garde à vue dès mon arrivée au commissariat de Vichy et averti qu’après mon audition les policiers se porteraient avec moi à mon domicile pour une perquisition, j’avais signalé aux deux OPJ que, ma femme étant cardiaque, je lui avais caché ma convocation au commissariat. Je leur avais précisé qu’à une heure donnée ma femme quitterait notre domicile et je leur demandais d’attendre cette heure-là pour y faire leur apparition. Or ils n’avaient tenu aucun compte de mon avertissement et, par leur arrivée intempestive à la maison, ils avaient provoqué chez ma femme un sérieux malaise cardiaque.

Ce 13 novembre, je les ai vertement tancés. Je leur ai dit leur fait. Ils se sont calmés.

Les policiers en uniforme sont repartis à 7h30. Les OPJ, une jeune femme et un homme jeune, ont opéré de 6h20 à 10h30.

J’ai refusé de répondre à leurs questions. A toutes les questions de la police, j’ai pris le pli, depuis près de trente ans, de répondre : “Pas de réponse”, et cela même si la question est bénigne. Je refuse de collaborer avec la police et la justice françaises dans la répression du révisionnisme historique.

Une fois de plus, mes deux OPJ ont fait chou blanc. Une fois encore, ils n’ont trouvé ni l’ordinateur, ni les documents recherchés.

Ils étaient porteurs de cinq (!) commissions rogatoires. Les plus importantes concernaient ma participation à la conférence de Téhéran (11-12 décembre 2006). Jacques Chirac est à l’origine de ces plaintes-là ainsi qu’une organisation essentiellement juive.

Je sollicite l’indulgence de mes correspondants si, à l’avenir, je suis amené, pendant un certain temps, à laisser leurs messages ou leurs lettres sans réponse. J’entre dans une période de turbulence. Je ne trouve toujours pas d’avocat pour succéder à Eric Delcroix, qui a pris sa retraite. Soit dit en passant, je prie mes correspondants de ne pas venir me recommander tels ou tels avocats, réputés courageux mais qui ne sont que des lâches habitués à plastronner. (Un modèle du genre : Jacques Vergès. Je suis peiné de voir combien peu ont percé à jour la comédie qu’il nous joue. Son ficelle, de la grosseur d’une corde : la surenchère dans l’antiracisme. Barbie raciste ? Vous plaisantez ! Il n’y a pas eu plus racistes que les colonialistes français ou encore les Australiens, exterminateurs de la race tasmanienne).

En France comme ailleurs, les [censure] exigent, en ce moment, une répression accrue du révisionnisme. A mesure que l’Etat d’Israël multipliera les provocations à l’endroit des Palestiniens, il se mettra dans un péril croissant, jusqu’à entraîner, ne lui en déplaise, la disparition du régime sioniste. Pour l’heure, ce régime doit à tout prix sauvegarder l’arme numéro un de sa propagande de guerre : le mensonge de la religion de “l’Holocauste” avec ses [censure] chambres à gaz homicides.

Attendons-nous tous à être traités en Palestiniens. Pour ma part, je ne plierai pas. Certains me reprochent parfois d’oublier, dans mon combat, que le premier devoir d’un homme serait de préserver la sécurité de sa femme et de ses enfants. Mais peut-être n’est-ce là que le second devoir d’un homme. Peut-être le premier devoir d’un homme est-il d’être un homme.

Bien à tous.

Robert Faurisson

vendredi 14 novembre 2008

zionists propagandists trying to censor the internet



massive censorship by the ZIONISTS on traditinal outlet is well-known now they're going after the internet!!!
Zionist professional propagandits are trying to silence anybody speaking against israel policies and treatment of palestinians.
this includes ... among others those denouncing AIPAC zionist control of washington.

These fascists shamelessly feature their own Youtube channel here
http://youtube.com/user/thejidf
and maintain a "hit list" where your name or your friends might be (btw you're automatically "guilty" by asscociation).
http://www.thejidf.org/2008/02/problematic-youtube-channels-and-videos.html

they have a program of systematically censoring all the social collaborative sp
ace (myspace,youtube or wikipedia !!)

THESE FASCISTS ALREADY CONTROL ALL WHAT YOU KNOW OR SAY FROM TV OR NEWSPAPERS THEY HAVE THE PRETENTION TO DO THE SAME ON THE INTERNET.

samedi 8 novembre 2008

Le Changement Version Obama : Première Nomination, Le Fils D'Un Terroriste Sioniste



Pour ceux qui s'accrocheraient désespéremment à leurs illusions sur le "changement" annoncé par Obama, notamment en matière de politique étrangère au Moyen Orient, le premier choix pour sa future Administration, que certains appellent déjà Clinton 3, est parfaitement significatif. Obama propose le poste influent de secrétaire général de la Maison Blanche à Rahm Emanuel, sioniste et fils d'un membre du groupe terroriste israélien pré étatique, l'Irgoun*.

Le Changement Version Obama : Première Nomination, Le Fils D'Un Terroriste Sioniste
Le Changement Version Obama : Première Nomination, Le Fils D'Un Terroriste Sioniste
Dans la pratique, les personnes qui influencent les opinions - et par là même les décisions - du président américain ce sont ses aides et conseillers les plus proches. Parmi eux, certains sont fonctionnaires de l'Administration, tel le conseiller à la sécurité nationale, le secrétaire général de la Maison Blanche, le secrétaire d'état, le secrétaire à la défense etc... D'autres sont des personnes qui n'occupent pas de poste administratif mais qui ont également du poids comme certains membres des boîtes à penser. La principale activité du président c'est d'assurer la direction du pays et de remplir son rôle comme autorité politique pour que sa ligne politique soit acceptée par le Congrès.

Le choix d'Obama pour le poste de secrétaire général de la Maison Blanche est par conséquent significatif de l'orientation que prendra sa politique étrangère au Moyen Orient, notamment en ce qui concerne le conflit israélo palestinien. Certains ont déjà surnommé son Administration "Clinton 3" (Bill Clinton a rempli deux mandats à la Maison Blanche) car Obama a déjà en vue d'autres Clintonites pour des postes de haut niveau. Obama a 10 semaines pour former sa nouvelle Administration avant son investiture le 20 janvier 2009.

Rahm Emanuel est le fils d'un sioniste israélien, Benjamin Emanuel, un pédiatre né en Israel qui par la suite a émigré aux Etats Unis et épousé une juive américaine, Martha. Benjamin Emanuel a été membre du groupe terroriste sioniste pré étatique, l'Irgoun* responsable d'attentats qui visaient essentiellement des civils, perpétrés dans des hôtels, (dont en 1946 explosion au King David Hotel à Jerusalem, 91 morts) sur des marchés de même que du massacre infame de Palestiniens à Deir Yassin entre 1931 et 1948.

Rahm Emanuel, 49 ans, qui est né à Chicago, s'est porté volontaire pour servir dans l'armée israélienne en 1991 pendant la première guerre du Golfe. Il a aidé à la maintenance des véhicules de l'armée israélienne stationnés prés de la frontière avec le Liban, alors que le Sud Liban était encore occupé par Israël. Representant Démocrate de l'Illinois au Congres, collègue politicien d'Obama à Chicago, il a fait partie de l'Administration Clinton comme conseiller politique, et a organisé en 1993 la cérémonie pour la "Declaration de Principes" entre Yasser Arafat et Yitzak Rabin. Au Congres il s'est illustré par son soutien inconditionnel à Israël, manifestant parfois même plus de soutien que le président Bush lui-même. En 2003 il a signé une lettre critiquant Bush pour ne pas soutenir suffisamment Israël. Emanuel a qualifié les gouvernents du Liban et de l'Autorité Palestinienne comme " des entités totalitaires avec des milices et des terroristes qui agissent à l'instar des démocraties" lors d'un discours le 19 Juillet 2006 au Congrès portant sur une résolution soutenant les bombardements par Israël du Liban et de la Bande de Gaza qui ont fait plusieurs centaines de victimes civiles. Ainsi donc, Il est réputé pour sa langue acérée, sa rudesse et son entêtement. Après la réelection de Clinton en 1996, Rahm Emanuel était tellement en colère contre les "ennemis "du président qu'il s'est levé lors d'un banquet de fin de campagne s'est emparé d'un couteau et a commencé à citer une liste de "traitres" en criant après chaque nom, Mort ! Mort ! Mort ! et en donnant des coups de couteau dans la table. Chouette type ! C'est aussi un supporter enthousiaste de United States Public Service Academy Act, un groupe de lobbying crée en 2006 pour promouvoir la fondation d'un service academique public américain copiant les academies militaires (écoles militaires). Rahm Emanuel est également coauteur avec Bruce Reed, d'un livre intitulé " The Plan : big Ideas for América" qui appelle à rétablir le service national obligatoire pour les jeunes Américains entre 18 et 25 ans. "Le temps est venu d'un véritable Patriot Act qui fait surgir en nous le véritable patriote. Nous proposons un service civil universel pour chaque jeune Américain. Avec ce plan, tous les Américains âgés de 18 à 25 ans devront servir leur pays en se soumettant à trois mois d'entraînement de base, de defense civile, de préparation et de services communautaires...."

En acceptant ce poste de secrétaire général de la Maison Blanche Rahm Emanuel deviendra le gardien du Bureau Ovale et le haut conseiller du président Obama.

Selon le site israélien Ynet ( 6/11/08) " Emanuel est pro israélien, et n'acceptera le poste que parce qu'il est convaincu que le président élu Obama est pro Israel".

Elevé dans un milieu sioniste, il participe fréquemment aux évènements organisés en faveur d'Israël. Michael Kotzin, vice président directeur de la Jewish Federation of Metropolitan Chicago, a dit qu'Emanuel participait notamment à la célébration du jour de l'Independance et de la parade annuelle en soutien à Israël. "Il y améne ses jeunes enfants et m'a dit que pendant son enfance son père l'emmenait à des évènements en soutien à Israël. Certaines manifestations sont fréquentées par de vastes foules et quand Rahm Emanuel y participe, il parle aussi à la foule en faveur d'Israël". Emanuel fait également des séjours prolongés l'été en Israël. Dans une interview pour le quotidien à grand tirage israélien Ma'ariv, le père de Rahm Emanuel, Benjamin, a dit qu'il était convaincu que la nomination de son fils au poste de secrétaire général serait bon pour Israel :

"C'est évident qu'il influencera le président à être pro Israël... Pourquoi ne le ferait-il pas ? Qu'est ce qu'il est, un Arabe ? Il ne va pas nettoyer les sols de la Maison Blanche"

C'est le premier américano sioniste à rentrer dans l'Administration Obama, et ce n'est pas le dernier.

* "Israël est né d’un mouvement terroriste de libération, dont le fer de lance furent l’Irgoun et le groupe Stern visant à expulser les Anglais de Palestine (attentat contre l’hôtel King David, en 1946 ; mais il devient dans un même mouvement une structure terroriste et militaire d’Etat visant à expulser les populations arabes de Palestine pour unifier le territoire et élargir le périmètre alloué à l’Etat juif par le plan de partage voté par l’Asemblée générale de l’ONU, le 29 novembre 1947 (massacre de Deir Yassine, en avril 1948). Israël n’a jamais cessé de cultiver le savoir-faire terroriste de ses débuts et d’en faire le noyau doctrinaire de sa conception de la lutte contre ses ennemis. ". Le Monde Diplomatique 1996