jeudi 30 octobre 2008

Le suprémacisme juif , enfin avoué !



The Canadian Jewish News

‘L’assimilation dans la Diaspora juive est un fléau’

By ELIAS LEVY, Reporter

23 October 2008
L’assimilation débridée qui sévit aujourd’hui dans les Communautés juives de la Diaspora, notamment aux États-Unis et dans plusieurs contrées européennes, inquiète au plus haut point les autorités gouvernementales israéliennes.

“Dans certaines Communautés juives diasporiques, c’est tout du moins le cas aux États-Unis et en France, on observe impavides des taux d’assimilation de l’ordre de 50%, 60% et même 70%.


C’est effarant et très inquiétant pour l’avenir du peuple juif. Tous les jours, nous perdons des centaines de jeunes Juifs et Juives qui en épousant des non-Juives ou des non-Juifs créent des foyers sans aucune identité juive. Aujourd’hui, c’est très légitime de dire: “Je suis Juif, mais je suis marié avec quelqu’un qui ne l’est pas”. Il faut absolument contrer ce phénomène délétère.

L’assimilation, surtout dans la Diaspora juive, signifie ni plus ni moins le début de la fin du peuple juif. Nous ne pouvons pas nous permettre de sous-estimer les conséquences désastreuses de ce razdemarée inéluctable”, nous a dit au cours d’une entrevue Gael Grunewald, président du Département Hagshama de l’Organisation Sioniste Mondiale, une institution sous la houlette de l’Agence Juive pour Israël.

Gael Grunewald, qui a fait son Aliya de France en 1982, a été élu en 2006 président du Département Hagshama sous la bannière du parti Mizrachi, représenté dans les instances exécutives de l’Organisation Sioniste Mondiale.

Pour endiguer l’assimilation dans les Communautés juives de la Diaspora, le Département Hagshama s’est fixé un objectif de taille: transmettre un bagage juif et sioniste à des jeunes Juifs âgés de 18 à 30 ans, par le truchement d’une pléthore de programmes éducatifs, culturels, sociorécréatifs, sportifs…

“Nous allons tout faire pour que ces jeunes Juifs n’abandonnent pas leur Communauté et ne s’adonnent pas à l’assimilation. Dans une perspective à plus long terme, nous allons les encourager à se rapprocher de l’État d’Israël jusqu’au jour où ils décideront de faire leur Aliya pour s’établir définitivement en Eretz Israël”, précise-t-il.

Le Département Hagshama offre tout au long de l’année dans des Communautés juives de la Diapora une série de programmes et d’activités pour des jeunes adultes: conférences, séminaires, voyages d’été en Israël, Shabbaton, projection de films, soirées dansantes, retraites en plein air, tournois sportifs…

“Nous proposons un grand nombre d’activités pour permettre à ces jeunes de nouer des liens de camaraderie entre eux et de renforcer leur identité juive.”

C’est beaucoup plus facile de renforcer l’identité juive d’un jeune qui poursuit ses études dans une école juive ou qui est membre d’un mouvement de Jeunesse juive structuré que d’un jeune qui n’a quasiment aucun lien avec une Communauté juive et qui n’est pas scolarisé dans une institution éducative israélite, reconnaît Gael Grunewald.

“Nous essayons surtout de nous rapprocher de jeunes qui n’ont reçu aucune éducation juive et qui n’ont aucun bagage culturel juif. Ce n’est pas facile. C’est un travail très ardu, surtout aux États-Unis et dans certains pays européens où le taux d’assimilation dans des Communautés juives atteint souvent 60% et même 70%.”

Le Département Hagshama a des Shlihim émissaires dans plusieurs Communautés juives de la Diaspora. À Montréal, Hagshama est représenté par Roni Olim, qui travaille dans le cadre du Département de l’Aliya de la Fédération Sioniste Canadienne, Région de l’Est.

“Nous essayons de bâtir des partenariats avec des organisations communautaires qui s’attellent aussi à renforcer l’identité juive et sioniste des jeunes adultes juifs, expliquetil. Il s’agit d’identité juive et non de religion juive. Hagshama est un mouvement juif et non religieux. Nous respectons toutes les sensibilités identitaires qui s’expriment au sein du peuple juif, qui n’a jamais été une entité humaine monolithique. Notre objectif final: que ces jeunes prennent conscience de leur judéité.”

Gael Grunewald était récemment de passage à Montréal pour assister à la première Convention du Jeune Leadership sépharade. Cet événement a été organisé par la Communauté sépharade unifiée du Québec, présidée par Marc Kakon, en collaboration avec la Fédération Sépharade du Canada, présidée par Moïse Amselem, et la Fédération Sépharade Mondiale, présidée par Nessim Gaon.

Une quarantaine de jeunes adultes juifs représentant des Communautés sépharades d’Amérique latine, des États-Unis et du Canada ont participé à ce rassemblement.

Lors de son passage à Montréal, il a rencontré les dirigeants de la Communauté sépharade unifiée du Québec.

“La Communauté sépharade unifiée du Québec fait un travail remarquable auprès des jeunes. La situation de l’assimilation à Montréal et au Canada est moins alarmante que dans d’autres Communautés de la Diaspora juive. Mais, il ne faut pas s’asseoir sur ses lauriers! Les leaders communautaires juifs montréalais et canadiens doivent être vigilants et continuer à lutter énergiquement contre le fléau de l’assimilation. J’espère que le Département Hagshama et la Communauté sépharade unifiée du Québec coopéreront étroitement dans un proche avenir”, nous a dit Gael Grunewald.

Robert Abitbol, directeur général de la Communauté sépharade unifiée du Québec, envisage aussi positivement un futur partenariat entre la Communauté sépharade et le Département Hagshama.

“Nous partageons entièrement l’objectif final de Hagshama: renforcer l’identité juive et sioniste de nos jeunes. Tous les programmes Jeunesse offerts par la Communauté sépharade vont dans ce sens. Le Département Hagshama a une expertise éprouvée dans ce créneau fondamental et des ressources humaines et pédagogiques importantes, dont la Communauté sépharade pourrait bénéficier.”

Gael Grunewald a tenu à transmettre ce message à tous les membres de la Communauté juive de Montréal:

“L’avenir de votre Communauté et des autres Communautés juives de la Diaspora, l’avenir du peuple juif et l’avenir de l’État d’Israël sont entièrement tributaires de l’identité juive de nos jeunes. Ces derniers sont les seuls garants de l’héritage culturel, spirituel et historique, plusieurs fois millénaire, que nos aïeux se sont escrimés à nous transmettre au péril de leur vie.”

Pour plus d’informations sur les programmes offerts par le Département Hagshama de l’Organisation Sioniste Mondiale, consulter le Site Internet: www.hagshama.org.il.

Gael Grunewald, head of the hagshama department of the World Zionist Organization, talks about the importance of keeping young people involved in Diaspora Jewish communities. He was in Montreal for the first Sephardi Jewish leadership convention.

http://www.cjnews.com/index.php?option=com_content&task=view&id=15543&Itemid=86


Jacques Attali

La mort de l’Empire américain: Les États-Unis s’autodétruisent et entraînent le reste du monde avec eux.





«Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que le sont les armées» (Thomas Jefferson, président américain. 1743-1826)



Les États-Unis se meurent. Ils s’autodétruisent et entraînent le reste du monde avec eux.



par Tanya Cariina Hsu


Mondialisation.ca,


On dit souvent qu’il s’agit d’un effondrement du crédit hypothécaire à risque, ce qui voile la vraie raison de la crise. En l’associant à la crise des hypothèques pourries, inutiles et tangibles, on peut au moins blâmer quelque chose de « réel » pour le carnage. C’est un mythe, voilà le problème. L’ampleur de cet effondrement financier est due au fait que tout était basé sur du vide.


L’industrie financière a renommé les créances garanties « swap sur défaillance » et les paris risqués « produits dérivés ». Les directeurs financiers et les cadres du milieu bancaire vendaient l’ultime escroquerie au monde entier à l’instar des charlatans vendant leurs remèdes au 18e siècle, mais cette fois-ci en vestons et cravates. En octobre 2009, cette industrie, que peu de gens arrivaient à comprendre, atteignait les quatrillions de dollars (1000 milliards).


Soutenus par de faux espoir, les États-Unis tombent maintenant comme un château de cartes.

Tout a commencé au début du 20e siècle. En 1907, J.P. Morgan, un banquier privé de New York, a propagé une rumeur voulant qu’une grande banque concurrente, sans dire laquelle, était sur le point de sombrer. C’était une fausse accusation, mais les gens sont tout de même accourus à leur banque pour retirer leur argent, craignant que celle-ci ne soit l’objet de la rumeur. Comme ils retiraient leurs fonds, les banques ont perdu leurs dépôts en argent et ont dû rappeler leurs prêts. Les clients devaient alors payer leurs hypothèques afin que les banques aient des revenus, un processus qui les menait à la faillite. La panique de 1907 a provoqué un krach incitant à la création de la Réserve fédérale, un cartel bancaire privé avec le vernis d’une organisation gouvernementale indépendante. En réalité, c’était un coup des banquiers d’élite dans le but de contrôler l’industrie.

La loi signée en 1913 autorisait la Réserve fédérale à prêter et imprimer l’argent de la nation, mais avec intérêt. Plus elle imprimait d’argent, plus elle générait ses propres revenus. De par sa nature, la Réserve fédérale était vouée à produire à jamais des dettes pour survivre. Elle a pu imprimer la réserve monétaire à sa guise, en contrôlant sa valeur. Pour en contrôler la valeur, il fallait toutefois garder l’inflation à l’œil.

La Réserve fédérale a alors doublé la réserve monétaire américaine en l’espace de cinq ans et a rappelé un pourcentage volumineux de prêts. Plus de 5 000 banques se sont effondrées au cours de la nuit. Un an plus tard, la Réserve fédérale a de nouveau augmenté la réserve monétaire de 62 %, mais en 1929, elle a une fois de plus rappelé une quantité importante de prêts. Cette fois, le krach de 1929 a ruiné plus de 16 000 banques et fait plonger la bourse de 89 %. Les banques privées et bien protégées dans le système de la Réserve fédérale ont pu rafler les banques ruinées pour presque rien.

Le pays est entré dans la grande dépression, et, en avril 1933, le président Roosevelt a promulgué un décret confiscant tous les lingots d’or détenus par le public. Ceux qui refusaient de rendre leur or étaient emprisonnés pendant dix ans, et à la fin de l’année, l’étalon-or était aboli. On a remplacé ce qui était autrefois remboursable en or par du papier monnaie ayant cours légal, et l’or ne pouvait plus être échangé pour de l’argent comptant comme avant.

Plus tard, en 1971, le président Nixon a complètement aboli l’étalon-or, et, par conséquent, le dollar a cessé de se transiger au prix international fixe de 35$. Les États-Unis décidaient alors de la valeur du dollar US parce qu’il valait autant que l’or. Il n’avait aucun standard de mesure et est devenu la monnaie universelle. Les bons du Trésor (obligations à court terme) et les obligations (à long terme), c’est-à-dire les billets du gouvernement étasunien payés par les contribuables, ont remplacé l’or comme valeur. En outre, l’or étant exempt des exigences relatives aux déclarations, contrairement aux systèmes monétaires fiduciaires occidentaux (basés sur la fiducie), on ne pouvait le retracer. Ce n’était pas dans le meilleur intérêt des États-Unis.

Après la grande dépression, les banques privées craignaient toujours de faire des prêts hypothécaires. Roosevelt a alors créé Fannie Mae, une banque de financement hypothécaire subventionnée par l’État et fournissant des fonds fédéraux afin de financer des hypothèques pour des logements abordables. En 1968, le président Johnson a privatisé Fannie Mae, et en 1970, Freddie Mac a été créée pour lui faire compétition. Les deux achetaient des hypothèques des banques et autres prêteurs et les vendaient à de nouveaux investisseurs.

Le boom qui a suivi la Seconde Guerre mondiale avait créé une Amérique débordante d’argent et d’actifs. En tant que complexe militaro-industriel, les États-Unis ont profité de la guerre de façon exponentielle, et, contrairement à tous les empires de l’histoire, le pays s’est hissé au rang de superpuissance. Mais il a oublié qu’historiquement, l’ascension des empires est proportionnelle à leur déclin.

Les Étasuniens pouvaient se permettre toutes les commodités modernes, en exportant leurs biens manufacturés à travers le monde. Après la guerre du Vietnam, les États-Unis ont vécu un déclin économique, mais les gens répugnaient à abandonner leur niveau de vie élevé en dépit des pertes d’emplois, et la production était envoyée de plus en plus à l’étranger. Un sentiment illusoire et de droit acquis a gardé les Étasuniens sur le tapis roulant de la consommation.

En 1987 la bourse étasunienne a plongé de 22 % en une journée en raison des transactions de contrats à terme standardisés à haut risque, appelés « produits dérivés », et, en 1989, la crise de la Savings & Loans a amené le président George H. W. Bush à utiliser 142 milliards de dollars de l’argent des contribuables pour sauver la moitié de la S&L. Pour ce faire, on a donné à Freddie Mac la tâche de donner des hypothèques à risque (ou subprime, en deçà du taux préférentiel) à des familles à faible revenu. En 2000, « l’exubérance irrationnelle » de la bulle technologique a éclaté et 50 % des entreprises de haute technologie ont fait faillite, rayant cinq billions de dollars de leur valeur marchande exagérée.

Après la crise, Alan Greenspan, le président de la Réserve fédérale, a maintenu les taux d’intérêt si bas qu’ils étaient en deçà de l’inflation. Tous ceux qui épargnaient leurs revenus perdaient de l’argent en réalité, et le taux d’épargne est vite tombé dans le négatif.

Durant les années 1990, les publicitaires se sont activés intensément, mettant en marché un style de vie encore plus luxueux, disponible grâce au crédit facile et peu coûteux. Les secondes hypothèques sont devenues monnaie courante et les prêts d’accès à la propriété servaient à payer les comptes de cartes de crédit. Plus les Étasuniens achetaient, plus ils s’endettaient. Mais tant qu’ils possédaient une maison, leur faux sentiment de sécurité persistait : leur maison était leurs capitaux propres, sa valeur augmenterait sans cesse, et ils pouvaient toujours réhypothéquer à des taux moindres si nécessaire. L’industrie financière croyait aussi que les prix de l’immobilier augmenteraient continuellement, et que s’ils devaient chuter, la banque centrale baisserait les taux d’intérêt afin de faire remonter les prix. Tout le monde croyait qu’il s’agissait d’une situation gagnant-gagnant.

Le niveau le plus bas des taux d’intérêt de M. Greenspan permettait à tout le monde d’avoir une maison. Les travailleurs au salaire minimum ayant l’ambition d’acheter une maison d’un demi-million de dollars étaient en mesure de garantir des prêts de 100 %, et les prêteurs étaient tout à fait conscients qu’ils ne pourraient pas continuer à payer.

Tellement de gens ont reçu des prêts à risque que les sociétés de placement et les prêteurs ont trouvé une nouvelle manigance : rassembler ces prêts hypothécaires virtuellement sans valeurs et les vendre à titre d’investissement à des pays non avisés qui ne verraient pas la différence. Le mode de vie excessif des Étasuniens et le consumérisme n’en ont jamais souffert, et le tout était financé par des nations étrangères pas plus judicieuses.

Les banques ont toujours prêté plus d’argent qu’elles n’en possédaient, parce que le paiement d’intérêts génère leur revenu. Plus une banque prête, plus elle perçoit des intérêts, même sans argent dans la chambre forte. C’est une industrie lucrative de donner de l’argent que l’on ne possède pas au départ. Les banques de crédit hypothécaire et les sociétés de placement ont même emprunté de l’argent sur les marchés monétaires internationaux pour financer ces prêts hypothécaires à risque à 100 % et plus, et ont commencé à prêter plus de dix fois leurs actifs sous-jacents.

Après le 11 septembre, George Bush a dit à la nation de dépenser et, en pleine guerre, c’est ce que la nation a fait. Elle a emprunté à des niveaux sans précédents afin de payer non seulement sa guerre au terrorisme au Moyen-Orient (coûts estimés à quatre billions de dollars), mais aussi ses baisses d’impôts au moment même où ces impôts auraient dû être haussés. Bush a diminué les réserves obligatoires de Fannie Mae et Freddie Mac de 10 % à 2,5 %. Elles étaient libres non seulement de prêter encore plus, à des taux d’intérêt à leur plus bas, mais en outre elles ne devaient posséder qu’une fraction des réserves. Les banques ont rapidement prêté trente fois la valeur de leur actif. C’était, comme l’a dit une économiste, une « orgie d’excès ».

C’était de l’excès de dépenses en temps de guerre. Jamais dans l’histoire un pays n’a été impliqué dans un conflit sans sacrifice, sans réductions budgétaires, sans augmentation d’impôts et sans conservatisme économique.

Et, comme en 1929, les chances que tous les investisseurs courent réclamer leur argent en même temps augmentaient.

Donc, pour garantir ces hypothèques à haut risque, les sociétés d’investissement qui les vendaient ont alors créé des polices d’assurance sur les investissements dans ce type de crédit, vendues sous le nom de « swap sur défaillance » (credit default swap (CDS)). Le gouvernement doit toutefois réglementer les polices d’assurance, donc en les appelant CDS, elles demeuraient non réglementées. Les institutions financières « couvraient leurs spéculations » et vendaient des primes afin de protéger des actifs spéculatifs. En d’autres mots, l’actif qui devait prendre de la valeur pouvait également avoir un pari à côté, au cas où il baisserait. En octobre 2008, les transactions des CDS se chiffraient à 62 billions de dollars, un montant plus élevé que toutes les bourses du monde réunies.

Ces spéculations n’avaient absolument aucune valeur et n’étaient pas des investissements. Ils n’étaient que des instruments financiers appelés produits dérivés – des spéculations à haut risque, « des riens provenant de rien » -- ou comme disait Warren Buffet, « des armes de destruction financière massives ». Les transactions de produits dérivés « valaient » plus qu’un quatrillion de dollars, soit plus que l’économie du monde entier. (En septembre 2008 le produit intérieur brut mondial s’élevait à 60 billions de dollars.)

Dénoncée comme étant illégale en 1990, la pratique des produits dérivés a été légalisée par Alan Greenspan. Les fonds de couverture sont rapidement devenus une industrie à part entière, spéculant sur le marché des produits dérivés et misant autant que souhaité. C’était facile, car il s’agissait d’argent qu’ils n’avaient pas au départ. L’industrie avait toutes les allures d’une banque, mais les fonds de couverture, les fonds d’actions et les courtiers en produits dérivés n’avaient pas accès aux prêts gouvernementaux en cas de défaillance. Si les propriétaires manquaient à leur engagement, les fonds de couverture n’avaient pas d’argent pour payer « à partir de rien ». Ceux qui avaient couvert un actif en hausse ou en baisse ne pouvaient pas bénéficier des gains ou des pertes.

Ce marché était devenu la plus grande industrie au monde, et tous les géants financiers encaissaient : Bear Stearns, Lehman Brothers, Citigroup et AIG. Mais les propriétaires de maisons, ayant depuis longtemps atteint leur limite de crédit, commençaient à faire défaillance sur leurs hypothèques. Ils payaient non seulement pour leur maison, mais aussi pour toutes les dettes amassées au fil du temps pour une voiture, une carte de crédit et un prêt étudiant, des frais médicaux et des prêts d’accès à la propriété. Ils avaient emprunté pour payer leur épicerie et leurs primes d’assurance santé qui montaient en flèche afin de conserver leurs plus grandes maisons et leurs plus grosses voitures. Ils ont refinancé les dettes qu’ils avaient à des taux moindres, lesquels ont rapidement grimpé. L’Américain moyen devait 25 % de son revenu annuel seulement en dettes de carte de crédit.

En 2008, les prix des maisons ont commencé à descendre subitement et les hypothèques perdaient soudainement de la valeur. Les commandes manufacturières avaient baissé de 4,5 % avant septembre, les inventaires commençaient à s’empiler, le chômage était en forte hausse, et les saisies avaient augmenté de 121 % et de 200 % en Californie.

Les géants financiers devaient arrêter de transiger ces titres adossés à des créances hypothécaires (mortgage-backed securities (MBS)), puisque leurs pertes devraient dorénavant être justifiées. Les investisseurs ont commencé à retirer leurs fonds. Bear Stearns, spécialisée dans les portefeuilles de titres hypothécaires, a été la première à partir en mars.

Tout comme ils l’avaient fait au 20e siècle, JP Morgan est venue rafler la Bear Stearns pour presque rien. Un an auparavant, les actions de Bear Strearns se transigeaient à 159$, mais JP Morgan a pu prendre la relève et les acheter à deux dollars l’action. En septembre, Washington Mutual s’est effondrée : il s’agissait du plus grand échec bancaire de l’histoire. Encore une fois, JP Morgan est intervenue et a payé 1,9 milliards de dollars pour des actifs évalués à 176 milliards. C’était une vente de feu.

Fannie Mae et Freddie Mac, les firmes reprises par l’État et responsables de 80% des prêts hypothécaires, ont tranquillement perdu presque 90 % de leur valeur au cours de l’été. Ensemble, elles étaient responsables de la moitié des prêts impayés, cependant, pour chaque dollar en réserve, elles avaient une dette de 80 dollars.

Afin de garantir leur survie, la Réserve fédérale est intervenue et a pris le contrôle de Fannie Mae et Freddie Mac. Le 7 septembre 2008, elles ont été « mises sous tutelle », ce que l’on appelle nationalisation ailleurs dans le monde, mais les Étasuniens rechignent à l’idée de toute industrie gouvernementale requérant des hausses d’impôts.

En réalité, le gouvernement donnait une marge de crédit illimitée. Puisqu’elle provenait de la Réserve fédérale, et non pas du Trésor, elle a pu passer outre l’approbation du Congrès. Le département du Trésor a par la suite mis des bons du Trésor aux enchères afin d’amasser des fonds destinés uniquement à la Réserve fédérale. Néanmoins, c’est le contribuable qui financerait le sauvetage. Les banquiers avaient saigné le système de dix milliards de dollars dans les opérations de couverture et la spéculation sur les produits dérivés, et provoqué le gel système des prêts interbancaires, lequel a cessé de fonctionner et s’est effondré.

La prise de contrôle a été définie comme un sauvetage de 700 milliards de dollars arbitraires, qui ne fait rien pour régler le problème. On n’a demandé à aucun économiste de donner son opinion au Congrès, et le prêt ne fait que perpétuer le mythe voulant que le système bancaire ne soit pas vraiment mort.

En réalité, les dommages ne s’élèveront pas à 700 milliards de dollars, mais à près de cinq billions de dollars, soit la valeur des hypothèques de Fannie Mae et Freddie Mac. Ce n’était rien d’autre qu’un sauvetage de l’industrie des produits dérivés valant des quatrillions de dollars, qui, autrement, devait faire face à des dividendes de plus d’un billion de dollars sur les CDS et MBS vendus. Il était nécessaire, selon le secrétaire du Trésor Henry Paulson, de sauver le pays d’une « correction du marché immobilier ». Mais, ajoutait-il, le rachat de 700 milliards de dollars financé par les contribuables ne préviendrait pas la chute d’autres banques, ce qui entraînerait en retour un krach boursier.

En d’autres mots, Henry Paulson faisait du chantage au Congrès afin de mener un coup de l’élite financière sous les apparences d’une nécessité de légiférer pour colmater la brèche. Cela a simplement transféré les richesses d’une classe vers une autre, comme ce fût le cas il y a presque un siècle. Les mots étaient à peine sortis de la bouche de M. Paulson que déjà d’autres institutions financières implosaient et s’ensuivait la désintégration du système financier mondial, largement modelé sur un système bancaire américain glorifié.

En septembre, sa marge de crédit étant désormais assurée, la Réserve fédérale a acheté la plus grande compagnie d’assurances au monde, AIG, au montant de 85 milliards de dollars pour 80 % de son capital. AIG était le plus gros vendeur de CDS, mais au moment où elle se devait de payer des biens donnés en garantie qu’elle ne possédait pas, elle vacillait au bord de la faillite.

En octobre, l’Islande en entier a fait faillite, car il avait acheté des prêts hypothécaires à risque à titre d’investissements. Les banques européennes ont commencé à exploser, toutes désireuses d’encaisser concurremment leurs actions gonflées afin de payer leurs dettes à bas taux d’intérêt avant que ces taux ne grimpent. L’année précédente, les signes étaient évidents lorsque le plus grand prêteur hypothécaire étasunien, Countrywide, s’est écroulé. Peu après, le plus grand prêteur du Royaume-Uni, Northern Rock, a fait naufrage : Londres copiait depuis longtemps la finance créative de Wall Street. Les manufactures automobiles du Japon et de la Corée ont plongé de 37 %, contractant les économies du monde entier. Le Pakistan est également au bord de la faillite, avec des réserves réelles de trois milliards de dollars, assez pour acheter des réserves alimentaires et du pétrole pour un mois et tenter de geler les paiements à l’Arabie Saoudite, qui lui fournit 100 000 barils de pétrole quotidiennement. Sous le président Musharraf, qui a quitté le pouvoir juste à temps, la devise pakistanaise a perdu 25 % de sa valeur, et son inflation atteignait 25 %.

Entre-temps, les prix de l’énergie ont monté en flèche, le pétrole atteignant un sommet d’environ 150 $ le baril cet été. Les coûts du chauffage, du pétrole, du transport et les coûts de production ont immédiatement été refilés aux propriétaires déjà à sec. Pourtant, 30 % des coûts d’un baril de pétrole étaient basés sur les spéculations de Wall Street, grimpant à 60 % pendant l’été en raison de la crainte des spéculateurs. Aussitôt que la crise financière a frappé, les prix du pétrole ont soudainement chuté, passant de 147 $ en juin à 61 $, prouvant que le facteur spéculatif de 60 % était bien plus précis. Ce brusque déclin a aussi révélé le manque de contrôle de l’OPEP sur la montée fulgurante des prix ces dernières années, un contrôle qui repose presque directement sur les épaules de l’Arabie Saoudite. En septembre, lorsque l’OPEP a tenté de maintenir des prix plus élevés en réduisant sa production, c’est l’Arabie Saoudite qui a voté contre une telle initiative, au détriment de son propre revenu.

L’Europe a alors décidé qu’elle ne serait plus jamais ruinée par les excès des États-Unis. La « vieille Europe » en avait peut-être assez de se faire dicter sa conduite par les États-Unis, qui ont refusé de faire des compromis sur les prêts qu’ont contractés leurs pays détruits après la Seconde Guerre mondiale. Le 13 octobre, les nations autrefois divisées de l’Europe ont approuvé unilatéralement un plan de sauvetage totalisant 2,3 billions de dollars. C’est trois fois plus que le plan américain pour une catastrophe que seul les États-Unis ont créée.

À la mi-octobre, le Dow, le NASDAQ et le S&P 500 ont effacé tous les gains accumulés dans la dernière décennie. Le stratagème frauduleux pyramidal de l’argent facile à partir de rien a résulté en une surabondance du crédit, une exagération des prix des maisons, ainsi qu’en une incroyable évaluation des actions, due au fait que les investisseurs ne retireraient pas leur argent tous en même temps. Mais tout s’effondrait à une vitesse casse-cou, sans solution à l’horizon. Le président Bush a dit que les gens ne devraient pas du tout s’inquiéter parce que les « États-Unis sont la destination la plus attrayante pour les investisseurs du monde entier ».

Ceux qui souffriront le plus sont les hommes et les femmes qui ont bâti le pays après la Seconde Guerre mondiale et qui arrivent à la retraite après avoir épargné leurs prestations. Ils ont bâti durant les années de guerre, fabriquant ses armes pour des conflits mondiaux. Pendant la guerre froide, l’URSS était l’ennemi omniprésent, donc le complexe militaro-industriel a continué à croître. Ce n’est que lorsqu’il y a une guerre que les États-Unis en profitent.

La Russie ne tolèrera pas une nouvelle guerre froide avec la multiplication des missiles balistiques. Pour sa part, le Moyen-Orient a vu son allié historique se transformer en son pire cauchemar, qu’il soit militaire ou économique. Ces nations ne continueront plus à appuyer le dollar comme monnaie internationale. Les États-Unis ne contrôlent plus l’économie mondiale et sont redevables au reste du monde. Ils ne pourront plus demander à leurs plus grands fournisseurs de pétrole du Moyen-Orient d’ouvrir leurs portefeuilles bancaires afin d’être transparent et démontrer l’absence de corruption ou de connexions terroristes sans qu’il n’y ait de conséquences : la plus grande corruption criminelle de l’histoire vient d’être perpétrée par les États-Unis.

C’était la meilleure escroquerie en ville : être bien payé pour vendre du risque en grande quantité, échouer, et laisser les gouvernements régler le problème au détriment des contribuables qui n’ont jamais même vu un sous de la richesse commune.

Il n’y a pas de solution facile à la crise, ses effets se multiplient comme une maladie contagieuse.

Ironiquement, les banques islamiques sont celles qui sont le moins affectées par la crise.

Elles ont été largement à l’abri de l’effondrement, car elles prohibent l’acquisition de richesses par le jeu (ou l’alcool, le tabac, la pornographie ou les actions dans les compagnies d’armement) et interdisent l’achat et la vente d’une dette, ainsi que l’usure. De plus, les lois bancaires de la Charia interdisent d’investir dans une compagnie dont les dettes excèdent 30 %.

« Les institutions bancaires islamiques ne se sont pas effondrées pour la simple bonne raison qu’elles transigent avec des actifs tangibles et assument les risques », affirme Mohammed Ramady, professeur d’économie à l’Université du Pétrole et des Ressources Minérales du Roi Fahd. « Même si les banques islamiques font partie de l’économie mondiale, l’impact d’une exposition directe aux investissements dans le crédit hypothécaires à risque a été négligeable. La réduction des liquidités a particulièrement affecté Dubaï, qui a contracté de gros emprunts au niveau international. L’effet le plus négatif aura été la perte de confiance dans les bourses régionales. » Les nations arabes ayant un surplus de pétrole « reconsidèrent donc leurs investissements dans les actifs financiers à l’étranger » et accélèrent leurs projets nationaux.

Il y a huit ans, en mai 2000, le banquier islamique saoudien Son Altesse Dr. Nayef Bin Fawaz al Chaalan a donné une série de conférences dans les États du golfe. À l’époque, ses recherches démontraient que les investissements arabes aux États-Unis, se chiffrant à 1,5 billions de dollars, étaient effectivement pris en otage et il recommandait de les retirer et de les réinvestir dans des actifs tangibles du marché arabe et islamique. « Pas dans des actions par contre, car la bourse peut être manipulée à distance, comme nous l’avons vu ces dernières années dans les marchés arabes, où des milliards de dollars se sont évaporés. »

Il a alors annoncé qu’il était certain que le système économique étasunien était au bord de l’effondrement, en raison de ses dettes cumulatives, de l’accroissement constant de son déficit, et de l’intérêt sur cette dette. « Lorsque les dettes et les déficits arriveront à échéance, ils émettront tout simplement de nouveaux bons du Trésor, afin de couvrir les vieux bons échus, avec leurs intérêts et un nouveau déficit ». On ne peut arrêter le cycle ou annuler la dette parce que les États-Unis ne seraient plus en mesure d’emprunter. Le fait de remédier à ce cycle aurait pour conséquence l’effondrement de leur système économique, par opposition au krach partiel, bien qu’énorme de 2008.

« Les banques islamiques, affirmait le Dr. al Chaalan, protègent toujours la richesse des individus tout en mettant un bouchon sur l’égoïsme et l’avarice. Il possède le meilleur du capitalisme, en filtrant ce qu’il a de négatif, et le meilleur du socialisme, en filtrant aussi ce qu’il a de négatif ». Les deux systèmes devaient inévitablement échouer. De plus, l’Europe et le Japon n’avaient plus à être tenus responsables et redevables aux États-Unis pour la protection contre les Soviets.

« La différence fondamentale entre le système économique islamique et le système capitaliste, poursuit-il, est que dans l’Islam, la richesse appartient à Dieu, l’individu n’étant que son administrateur. C’est un moyen et non une fin. Dans le capitalisme, c’est l’inverse : l’argent appartient à l’individu et est un but en soi. Aux États-Unis, spécifiquement, l’argent est vénéré comme un Dieu. »

En somme, le krach du système économique mondial est le résultat de l’arrogance fiscale des États-Unis, fondée sur un type de règlements pour eux, et un autre pour le reste du monde. Sa finance créative accrue a leurré son peuple en lui donnant un faux sentiment de sécurité, et le pays ressemble désormais à l’échec total du capitalisme.

Tout l’exercice de la démocratie par la force contre les nations arabes musulmanes a presque mis les États-Unis en faillite. La guerre froide est terminée et les États-Unis n’ont rien à offrir : pas d’exportations, pas de production, peu de ressources naturelles, ni d’économie dans le secteur des services.

Les marchés ayant résisté le plus aux politiques américaines, en restreignant les investissements directs aux États-Unis, sont ceux-là même qui se débrouilleront le mieux et finiront premiers.

Mais pas avant d’avoir payé un prix très élevé.


Article original en anglais, Death of the American Empire, America is self-destructing & bringing the rest of the world down with it, publié le 23 octobre 2008.

Traduit par Julie Lévesque pour Mondialisation.ca.


Tanya Cariina Hsu est chercheure en politique et analyste spécialisée dans les relations entre l’Arabie Saoudite et les États-Unis. Elle a contribué au récent témoignage écrit sur le Royaume d’Arabie Saoudite pour le Congressional Senate Judiciary Committee au nom de FOCA (Friends of Charities Association) lors des audiences sur la colline du Capitole à Washington, D.C. Son analyse a été publiée et acclamée par la critique à travers les États-Unis, l’Europe et le Moyen-Orient.

Elle a été la première à briser le silence à propos de l’influence israélienne sur le processus décisionnel de la politique étrangère américaine, lors du symposium « A Clean Break », qui se tenait à Washington, D.C., à la colline du Capitole en 2004. À l’époque directrice du développement et analyste à la recherche senior de l’Institut de recherche sur la politique au Moyen-Orient (IRmep), Mme Hsu demeure un membre international de l’Institut.

Née à Londres, elle est déménagée en 2005 à Riyad, en Arabie Saoudite, et écrit en ce moment un livre sur la politique américaine en Arabie Saoudite.


Jeudi 30 Octobre 200

Sarko Le NéoCon Sioniste Considère La Position D'Obama Sur L'Iran Comme ' Complètement Immature'







Sarko, le croisé néocon-sioniste, exige des US une position super agressive vis à vis de l'Iran. L'éventualité d'un dialogue US Iran sous la Présidence d'Obama l'irrite au point qu'il a fait savoir à ce dernier que cela serait "très problématique". Il prévoit de faire pression dans ce sens dés le résultat de l'élection connu.


Sarkozy considère la position d'Obama sur l'Iran comme complètement immature
Sarko Le NéoCon Sioniste Considère La Position D'Obama Sur L'Iran Comme ' Complètement Immature'
Selon un article du quotidien israélien www.haaretz.com du 26/10/08,lors de discussions privées Sarkozy se serait montré trés critique vis à vis du candidat à la présidentielle américaine, Barak Obama, concernant la position de ce dernier sur l'Iran.

Selon une source haut placée au gouvernement de Tel Aviv, les rapports transmis par les services sionistes de Paris indique que Sarkozy considère la position d'Obama comme " complètement immature", s'appuyant sur des "formulations vides de contenu". Cela parait donc contraire au soutien affiché publiquement et avec enthousiasme par Sarkozy au probable prochain Président des US.

Obama a rencontré Sarkozy en Juillet à Paris et au coeur des discussions entre les deux hommes il y avait bien entendu la question du programme nucléaire iranien. Selon ces rapports transmis aux responsables politiques israéliens, Sarkozy a dit à Obama que si le nouveau Président américain élu en Novembre changeait la politique de l'Amérique concernant l'Iran, ce serait " très problématique".

Sarkozy craint qu'Obama puisse ignorer "avec arrogance" la position commune jusqu'à présent maintenue entre les membres permanents du Conseil et Sécurité + l'Allemagne, de faire pression par le biais de sanctions pour obliger l'Iran à cesser ses activités d'enrichissement d'uranium, légalement son droit, puisqu'elles se font sous le stricte contrôle de l'AIEA. 3 résolutions contraignantes de sanctions ont déjà été votées à l'ONU sans succés, et la quatrième est pour l'instant bloquée à cause de l'opposition de la Russie et de la Chine, et ce malgré les fortes pressions Sarko Bushites.

Selon la même source israélienne, depuis sa rencontre avec Obama en Juillet, Sarkozy aurait exprimé à plusieurs reprises dans des cercles de discussions privées sa deception des positions d'Obama sur l'Iran, concluant qu'elles n'étaient pas " concrètes et que par conséquent bien des questions restent en suspens". Des conseillers de Sarkozy qui se sont entretenus avec des conseillers d' Obama auraient eu les mêmes impressions et exprimé la même deception. Il semble donc que l'attitude pro néocon sioniste ne soit pas l'apanage exclusif du Président mais aussi de certains dans son entourage politique proche.

Toujours selon la source israélienne, Sarkozy prévoit de négocier avec la prochaine administration américaine quelle soit dirigée par Obama ou McCain, avant même que le nouveau Président s'installe à la Maison Blanche, avec pour objectif de le persuader de continuer l'actuelle politique vis à vis de l'Iran.

Cependant, toujours selon le quotidien israélien Haaretz, Sarkozy serait pessimiste sur la possibilité de maintenir vis à vis du nucléaire de l'Iran une position intransigeante non seulement compte tenu des positions de Barak Obama mais aussi de la communauté internationale, et particulièrement l'incapacité de cette dernière à s'accorder pour décider d'un quatrième vote de sanctions au CSONU contre la République Islamique d'Iran. Sarkozy est persuadé qu'à cause de cela les Iraniens ne vont pas changer leur politique nucléaire, et soutiendrait implicitement une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes.

L'article mentionne également que les services secrets français seraient persuadés que l'Iran aurait déjà produit 40% d'uranium enrichi nécessaire à la production d'une bombe - bien que la production d'uranium enrichi en Iran soit sous le stricte contrôle de l'AIEA et à un taux seulement compatible avec la production d'energie selon cette agence, qui a réitéré dans son dernier rapport son constat d'un non détournement à des fins militaires - et que le reste serait obtenu dès l'été 2009, mais qu'ils sont partagés sur le fait de dire si les Iraniens fabriqueront immédiatement cette bombe ou s'ils continueront l'enrichissement jusqu'à ce qu'ils puissent en fabriquer plusieurs. Ces informations sur le soit disant programme nucléaire militaire iranien correspondent, comme par hasard, aux positions des responsables des services secrets israéliens tapageusement disséminées dans la presse israélienne, dont le Haaretz, ces derniers temps.

Alors qui tuyaute qui ?

Une telle convergence de vue au niveau des services secrets n'est t-elle pas plutôt révélatrice d'une collaboration très étroite, voire d'une symbiose entre eux en matière de propagande, qui remonte jusqu'à l'échelon le plus élevé en l'occurence pour la France jusqu'à Sarkozy. Preuve, s'il en fallait encore une, que lorsqu'il s'agit de politique étrangère, notamment vis à vis de l'Iran, Sarkozy fait passer les intérêts sionistes avant même ceux de la France.

Sarko un agent du Mossad ?

Allons donc !

Vous êtes antisémite ou quoi?

lundi 27 octobre 2008

Le roi du Maroc contre la "construction" d'une synagogue à Jérusalem-est

RABAT, 27 oct 2008 (AFP) - Le roi du Maroc contre la "construction" d'une synagogue à Jérusalem-est

Le roi Mohammed VI du Maroc a appelé à l'arrêt de la "construction" d'une synagogue dans un quartier musulman de Jérusalem-est, dans un message rendu public lundi à Rabat.

Mohammed VI a adressé son message au pape Benoît XVI, au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et aux membres permanents du Conseil de sécurité.

"Je voudrais, en ma qualité de président du Comité Al-Qods (qui relève de l'Organisation de la conférence islamique, ndlr) vous entretenir des récents agissements du gouvernement israélien dans Al-Qods Al-Charif (la Ville sainte de Jérusalem, ndlr), où il a entamé la construction d'une synagogue juive dans le quartier islamique de la place Al-Boraq, jouxtant la Mosquée Al-Aqsa", écrit le roi.

A Jérusalem, on indique qu'une organisation juive, Ateret Ha Cohanim, qui s'est fixée comme but de "judaïser" la Vieille ville de Jérusalem, a organisé le 12 octobre une cérémonie pour marquer l'achèvement de la première phase de "travaux de rénovation" d'une synagogue datant du 19e siècle se trouvant à une centaine de mètres de l'esplanade de Mosquées, le troisième lieu saint de l'islam.

Des travaux se poursuivent sur le site, au grand dam des autorités religieuses musulmanes.

"Ce qui a été entrepris précisément dans ce quartier donnera sans doute lieu à des complications qui ne serviront en rien la paix que nous appelons tous de nos voeux et pourrait avoir des conséquences fâcheuses, dont nul ne saurait prévoir la portée, ni les limites", selon le souverain marocain.

Mohammed VI condamne en outre des fouilles dans le périmètre de la mosquée Al-Aqsa, ainsi que la construction de nouvelles colonies israéliennes.

Il dénonce "un plan étudié visant à modifier le cachet d'Al-Qods".

"J'en appelle à vos bons offices pour intervenir auprès du gouvernement israélien afin qu'il s'abstienne de toute mesure préjudiciable à la paix dans la région", écrit encore le roi du Maroc.

Le statut de Jérusalem-est, annexée par Israël après sa conquête en 1967 et qui inclut la Vieille ville abritant des lieux saints juifs, chrétiens et musulmans, a fait achopper les négociations de paix israélo-palestiniennes à plusieurs reprises.

samedi 25 octobre 2008

Les Crypto-Juifs infiltrés au sein de l'eglise veulent censurer la Bible




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Pourquoi les Sionistes ne voudraient-ils pas prendre le contrôle de l’Église Catholique? Pourquoi ignoreraient-ils cette incroyable opportunité?

Avoir le contrôle d’une si grande église leur donnerait accès à des dizaines de millions d’enfants Goyim. Ils pourraient entraîner les Goyim à devenir des “Judéo-Chrétiens”, qui tuent des Musulmans pour Jésus.

En prenant le contrôle de l’Église Catholique, ils pourraient alors s’assurer que les responsables de l’église soutiennent Israël et qu’ils n’exposent jamais les crimes Sionistes.

Voici l'article publier sur le site du Monde(juif-sioniste) ce torchon fondamentaliste fanatique sioniste n'oserait jamais faire écho des écritures talmudistes fascistes qui glorifie le goy...

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Des évêques critiquent certaines interprétations actuelles de la Bible

Durant trois semaines, le synode, qui devait s'achever dimanche 26 octobre à Rome, a permis à 250 évêques du monde entier de s'interroger sur la meilleure manière de lire et de faire lire la Bible aux croyants. L'enjeu pour l'Eglise catholique est d'éviter le double écueil du fondamentalisme et du positivisme, dénoncé au fil des interventions.


Sans remettre directement en cause le travail d'exégèse critique et historique effectué sur les textes bibliques depuis le concile Vatican II, Benoît XVI a dénoncé les "problèmes et les risques de l'exégèse moderne". Il a ainsi mis en garde contre une lecture "scientifique et sécularisée" de la Bible, qui perdrait de vue la dimension théologique et spirituelle des textes. "Ceux qui font de l'exégèse pure risquent de considérer la Bible comme un livre du passé", a-t-il prévenu.

"Il faut conserver un travail complémentaire entre les exégètes et les théologiens", insiste Mgr Francis Deniau, l'un des évêques français présents au synode. Une nécessité rappelée par plusieurs évêques, inquiets d'un retour en arrière. D'autres ont aussi mis l'accent sur la dimension oecuménique et interreligieuse du texte biblique, notamment dans la perspective de meilleures relations avec les juifs et certaines communautés évangéliques.

Le synode a aussi constitué un forum pour des déclarations plus politiques. L'évêque du Burundi, Mgr Venant Bacinoni, a ainsi rappelé que, "parmi les populations qui doivent lutter au quotidien pour leur survie, beaucoup ne croient plus à la capacité de la parole de Dieu pour changer leur vie et se tournent vers les sectes". "Sur tous les continents, on a souligné avec force les dangers du fondamentalisme et de la prolifération cancéreuse des sectes", indique un rapport publié durant le synode.

L'archevêque nigérian d'Abuja a reconnu que "les relations entre chrétiens et musulmans (à quasi-égalité parmi la population du pays) représentent un défi constant". Plus délicate encore : la question religieuse dans le conflit israélo-palestinien. "Pour les juifs, et surtout pour certains religieux intégristes, la Bible est une sorte de cadastre délimitant les frontières d'Israël", a regretté Mgr Guy-Paul Noujaïm, un prélat maronite libanais. Le patriarche latin de Jérusalem, Fouad Twal, a aussi témoigné de la difficulté des chrétiens arabes à lire l'Ancien Testament "pour des raisons politiques et idéologiques".

Stéphanie Le Bars

10 questions sur la crise



samedi 25 octobre 2008

MICHEL COLLON

1. « Subprimes » ? Le point de départ est une véritable escroquerie. Les banques occidentales ont gagné énormément d’argent sur le dos de ménages US en grande difficulté à qui on extorquait des remboursements exagérés. En se disant que s’ils ne parvenaient pas à rembourser, on raflerait leur maison pour une bouchée de pain.

2. Seulement une crise bancaire ? Pas du tout. Il s’agit d’une véritable crise économique qui démarre par le secteur bancaire, mais dont les causes sont bien plus profondes. En réalité, toute l’économie US vit à crédit depuis plus de trente ans. Les entreprises s’endettent au-delà de leurs moyens, l’Etat s’endette au-delà de ses moyens (pour faire la guerre), et on a systématiquement poussé les particuliers à s’endetter, seul moyen de maintenir artificiellement une croissance économique. 3. La cause profonde ? Pas question de l’indiquer dans les médias traditionnels. Pourtant, les subprimes ne sont que la pointe de l’iceberg, la manifestation la plus spectaculaire d’une crise générale de surproduction qui frappe les Etats-Unis, mais aussi les pays occidentaux. Si le fin du fin pour une multinationale consiste à licencier des travailleurs en masse pour faire faire le même travail par moins de gens, si en plus on baisse les salaires par toutes sortes de mesures et avec l’aide de gouvernements complices, à qui donc ces capitalistes vendront-ils leurs marchandises ? Ils n’ont cessé d’appauvrir leurs clients !

4. Juste une crise à surmonter ? L’Histoire montre que le capitalisme est toujours allé d’une crise à l’autre. Avec de temps en temps, une « bonne guerre » pour en sortir (en éliminant des rivaux, des entreprises, des infrastructures, ce qui permet ensuite une jolie « relance »). En réalité, les crises sont aussi une phase dont les plus gros profitent pour éliminer ou absorber les plus faibles. Comme à présent dans le secteur bancaire US ou avec BNP qui avale Fortis (et ça ne fait que commencer). Seulement, si la crise renforce la concentration du capital aux mains d’un nombre toujours plus petit de multinationales, quelle sera la conséquence ? Ces super - groupes auront encore plus de moyens d’éliminer ou appauvrir la main d’oeuvre pour se faire une concurrence encore plus forte. Donc, retour à la case départ.

5. Un capitalisme moralisé ? Ca fait cent cinquante ans qu’on le promet. Même Bush et Sarkozy s’y mettent. Mais en réalité c’est aussi impossible qu’un tigre végétarien ou un nuage sans pluie. Car le capitalisme repose sur trois principes : 1. La propriété privée des grands moyens de production et de financement. Ce ne sont pas les gens qui décident, mais les multinationales. 2. La concurrence : gagner la guerre économique, c’est éliminer ses rivaux. 3. Le profit maximum : pour gagner cette bataille, il faut réaliser un taux de profit non pas « normal et raisonnable », mais un taux de profit maximum qui permet de distancer ses concurrents. Le capitalisme, c’est donc bien la loi de la jungle, comme l’écrivait déjà Karl Marx : « Le Capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un bénéfice raisonnable, le Capital devient hardi. A 20%, il devient enthousiaste. A 50%, il est téméraire ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines et à 300%, il ne recule devant aucun crime. » (Le Capital, chapitre 22)

6. Sauver les banques ? Bien sûr, il faut protéger les clients des banques. Mais ce que l’Etat fait en réalité, c’est protéger les riches et privatiser les pertes. L’Etat belge, par exemple, n’avait pas cent millions d’euros pour aider les petites gens à maintenir leur pouvoir d’achat, mais pour sauver les banques il trouve cinq milliards en deux heures. Des milliards que nous devrons rembourser. Ironie du sort : Dexia était une banque publique et Fortis a avalé une banque publique qui tournait très bien. Grâce à quoi ses dirigeants et actionnaires ont réalisé de juteuses affaires pendant vingt ans. Et maintenant que ça va mal, leur demande-t-on de payer les pots cassés avec les milliards qu’ils ont mis de côté ? Non, on nous demande à nous !

7. Les médias ? Loin de nous expliquer tout ça, ils mettent l’accent sur des aspects secondaires. On nous dit qu’il faudra chercher les erreurs, les responsables, combattre les excès et bla bla bla. Or, il ne s’agit pas des erreurs de tel ou tel, mais d’un système. Cette crise était inévitable. Les sociétés qui s’écroulent sont les plus faibles ou les plus malchanceuses. Celles qui survivent, en acquerront encore plus de pouvoir sur l’économie et sur nos vies.

8. Le néolibéralisme ? La crise a été non pas provoquée mais accélérée par la mode néolibérale de ces vingt dernières années. Or, ce néolibéralisme, les pays riches ont prétendu l’imposer de force dans tout le tiers-monde. Ainsi, en Amérique latine, que je viens d’étudier en préparant mon livre "Les 7 péchés d’Hugo Chavez", le néolibéralisme a plongé des millions de gens dans la misère. Mais l’homme qui a lancé le signal de la résistance, l’homme qui a démontré qu’on pouvait résister à la Banque Mondiale, au FMI et aux multinationales, l’homme qui a montré qu’il fallait tourner le dos au néolibéralisme pour réduire la pauvreté, cet homme-là, Hugo Chavez, les médias ne cessent de le diaboliser à coups de médiamensonges et de ragots. Pourquoi ?

9. Le tiers-monde ? On nous parle uniquement des conséquences de la crise dans le Nord. En réalité, tout le tiers-monde en souffrira gravement du fait de la récession économique et de la baisse des prix des matières premières qu’elle risque d’entraîner.

10. L’alternative ? En 1989, un célèbre auteur US, Francis Fukuyama, nous annonçait « la Fin de l’Histoire » : le capitalisme avait triomphé pour toujours, prétendait-il. Il n’a pas fallu longtemps pour que les « vainqueurs » se cassent la figure. En réalité, l’humanité a bel et bien besoin d’un autre type de société. Car le système actuel fabrique des milliards de pauvres, plonge dans l’angoisse ceux qui ont la « chance » (provisoire) de travailler, multiplie les guerres et ruine les ressources de la planète. Prétendre que l’humanité est condamnée à vivre sous la loi de la jungle, c’est prendre les gens pour des cons. Comment faut-il concevoir une société plus humaine, offrant un avenir décent à tous ? Voilà le débat qu’il nous incombe à tous de lancer. Sans tabous.

6 octobre 2008

Vous pouvez envoyer vos questions et commentaires à : michel.collon@skynet.be

Plusieurs articles sur la crise à : www.michelcollon.info

vendredi 24 octobre 2008

Sites et blogs islamophobes


Ceci est un billet ouvert qui tente de faire un recensement, le plus complet possible, de l'archipel des blogs et sites islamophobes francophones (se presentant comme "identitaires", laicards, , feministes, atlantistes etc.). Pour ce qui est des sites et blogs sionistes (donc eux aussi islamophobes) j'ai fait un billet spécifique...

Un certain cloisement : il semble exister un certains cloisement entre beaucoup de ces sites islamophobes, qu'ils soient libéraux-atlantistes, , laicards, féministes etc et les sites sionistes... du moins pour les sites qui ne sont pas tenus par des sionistes déguisés. C'est d'ailleurs un bon moyen de démasquer ces derniers.

Liens entre le site sioniste Désinfos.com et le site islamophobe québécois "Point de Bascule" ! : ah ce petit recensement n'aura pas été totalement vain puisque je crois bien avoir établi avec certitude les liens qui unissent ces deux sites, l'un sioniste, l'autre islamophobe. D'abord ils utilisent tous les deux SPIP (bonjour l'usurpation puisque SPIP est un super CMS créé par les mecs de gauche bourdieusarde à l'origine de sites comme uZine ou Rezo.net et qui sont en plus (en général) pro-palestiniens et absolûment pas islamophobes, ce sont donc des rouges-verts-bruns selon les critères sionistes/islamophobes). En plus de cela ces deux sites se trouvent avoir un seul lien en commun dans leur liste de liens à savoir le blog d'Alain Jean Mairet qui pourrait donc bien être le lien humain entre les deux...

L'UFAL (Union des Familles Laïques) point de convergence entre l'extême-droite islamophobe et les laicards : si la Libre Pensée (tenue par les trotskystes du CCI) résiste en général assez bien à la propagande sioniste islamophobe du "choc des civilisations", le point de convergence entre sionards, laicards et extrême-droite islamophobe semble être l'UFAL.

CLIQUE LAICARDE/FEMINISTE AUTOUR DE CHARLIE HEBDO : Caroline Fourest - Mohamed Sifaoui - PROCHOIX - Les Insoumises - Histoires de Mémoire - Appel laïque - Blog de Leïla Babès - Blog de Nadia Geerts - Tous Ensemble

Point de Bascule : (nom sans doute traduit de l'anglais) site québécois islamophobe apparemment lié à Bivouacè-ID et se revendiquant de Daniel Pipes. Le site semble également avoir des liens avec le site sioniste Désinfos.com avec qui il partage non seulement le CMS SPIP mais aussi un lien, le blog d'Alain Jean Mairet.

Bivouac-ID : (site lié à "Point de Bascule" et à Daniel Pipes, le ID fesant sans doute référence à "IDentitaire") Ce site a pour vocation de combattre le dogme musulman que nous estimons dangereux et incompatible avec la paix et l’amitié entre les peuples. Nous sommes un groupe d’hommes et de femmes, et nous constituons une mosaïque d’origines, d’opinions politiques, de nationalités, de cultures et de confessions très diverses. Notre message s’inscrit dans une démarche citoyenne et humaniste et se veut apolitique. Au même titre que le nazisme, le communisme et le fascisme, qui ont marqué de leurs empreintes le XXe siècle et que nos parents et grands parents ont combattus, nous affirmons que l’islam est une idéologie politique totalitaire, violente et guerrière...

SITES ISLAMOPHOBES LAICARDS/FEMINISTES : Le Devoir de Précaution (Suisse) - Ayaan Hirsi Ali (agent néoconne qui a fuit l'Allemagne en raison de la chari'a qui y règne) - ResilienceTV - Insoumission - Le Laïciste (Lise Ravary, Québec) - Richard Martineau (Québec) - Riposte laïque - ECHOS-VOX-MEDIAS - Nouvel-islam - Observatoire de l’islamisation - Femmes sous lois musulmanes - Antagoniste.net - islam-stop

Gérard DANTEC : écrivain de science-fiction qui a fuit l'islamo-fachisme régnant en France en s'exilant au Canada et qui est devenu depuis 2001 (avec Guillaume Faye) l'égérie des identitaires français islamophobes et atlanto-sionistes.

SITES ISLAMOPHOBES DE LA MOUVANCE IDENTITAIRE, ATLANTISTE, SIONISTE ET LIBERALE : fdesouche (site identitaire islamopgobe phare) - - Sur le Ring (maison d'édition de Gérard Dantec) - Dantec s'exprime - QG Dantec - Rockik (radio québécoise dantécoïde) - LibertyVox (lié à Rockik) - Le Web Résistant - Coranix - Les 4 Vérités - Père UBU (périodique belge donné en lien par le père Samuel) - Alexandre Del Valle (de son vrai nom Marc D'Anna, encien du GRECE etc qui a viré pro-sioniste comme Guillaume Faye, Madelin etc, ancien pillier de l'émission "C dans l'air" de Yves Calvi/Kettly) - Iran Focus - Le monde à l'envers (site qui combat l'inversion islamo-fachiste en rétablissant la vérité : la victoire de la horde américano-sioniste en Irak est proche !)

Iran Résist : (site pro-sioniste "zoroastro-shahiste", parmi les quelques liens externes qu'il propose il y a "Politique arabe de la France et MEMRI) Ce site est né d’une envie d’informer sans tabou et sans complaisance pour déboucher sur une vraie prise de conscience afin d’influer sur les choix des décideurs européens. Les enjeux du Moyen-Orient sont les enjeux de l’énergie, du terrorisme, de l’intégrisme : un cocktail explosif et des évènements indéchiffrables si on ignore les liens qui existent entre les acteurs de cette région.

Père Samuel : (de son vrai nom Charles Clément Boniface Ozdemir (chrétien de Turquie), héhé il a des articles qui lui sont consacrés sur wikipedia et sur vigi-secte) Le Père Samuel est prêtre catholique. Né en Orient, sa langue maternelle est l’araméen, la langue du Christ. Ayant vécu au Proche-Orient pendant 35 ans avant de s’établir en Europe, il est devenu polyglotte et familier de plusieurs cultures, dont notamment la civilisation arabo-islamique qu’il étudie depuis plus de 40 ans

Mouvement pour la Paix et Contre le Terrorisme (MPCT) : (shalom et antiterrorisme, thématique "humaniste" typiquement sioniste contre les attentats suicides (bien sûr tous "islamistes" malgré qu'ils tuent essentiellement des musulmans et servent la horde américano-sioniste) mais pas contre les Carpet bombings) Le Mouvement pour la Paix et Contre le Terrorisme a pour objet de faire condamner le terrorisme massacreur de civils, en le dénonçant comme un crime contre l’humanité

SITES ISLAMOPHOBES MORTS OU INACTIFS : Ordre 66 (en cherchant le nom sur internet je découvre que c'est un appel au génocide (contre les Jedi !) tiré de la Guerre des Etoile nouvelle mouture) - AFIDORA (Association pour le Débat, l'Ouverture, la Rationalité et l'Analyse) - Le Mont de Sisyphe - Les Pères Fondateurs - Ludovic Monnerat (La victoire de la liberté est proche en Irak) - AFEMO - Naibed's Blog (femme belge informaticienne pillier de Usenet mais ayant plein d'amants) - Le Déblogueur - BAFWeb (Bureau audiovisuel francophone) - Site de Robert Redeker

mercredi 22 octobre 2008

Témoignage d'une juive sur le meurtre rituel dans le judaïsme



En 1989 lors d'une émission de TV a Chicago(USA) Vicki Polin une femme juive, a affirmé que le meurtre rituels la pratique d'égorger un enfant chrétien pour fabriquer avec son sang les matzot de Pessah,se serait produit dans sa famille!!

Symphonie de la Noble Résistance Palestinienne

lundi 20 octobre 2008

Juda (isme). Tout est dit.

Les enfants d’Israël n’ont rien à voir avec le Juda isme. Ils se sont fourvoyés en acceptant d’être mis dans le même sac que ces corrupteurs sans frontières que sont les juifs.

Douglas Reed dit qu’ils ont disparus, en se fondant dans le reste de l’humanité. Ceux qui ont conservés le souvenir ont été phagocytés, dévorés sans espoir qu’un jour on puisse mettre la main sur le mécanisme qui a pris le beau pour en faire le pire. Sans espoir qu’ils le comprennent !

Mais heureusement le monde entier va le comprendre. Est déjà en train de le comprendre.

Quel est leur rapport entre les enfants d’Israël, et la doctrine raciste de Juda ? Aucun. Ils en sont même l’antithèse parfaite. Pourtant.

Mais oui il est là le piège ultime. Le piège que les juifs ont tendu d’abord aux israélites, et par conséquent au reste de l’humanité.

Ceux dont nous allons parler, ont glorifié et armé le nazisme, l’ont provoqué et exacerbé, pour que les israélites disparaissent, car ils étaient le plus grand danger pour eux. Car les israélites se souvenaient des règles que moise leur a donné à respecter.

Depuis la seconde guerre mondiale les israélites ne sont plus qu’une poignée, et ils brulent le drapeau du Sionistan autant de fois qu’ils le sentent nécessaire. Mais ils avaient commencé à s’opposer au programme politique du sionisme que leur apportaient les enfants de Juda depuis que des doctrinaires ont commencé à la diffuser.

Juda, mais qui donc est ce personnage ? Vous le savez déjà ?

Un traitre, un corrompu, un lâche. Le vendeur ultime, celui qui vend l’humain, le sacré. Son propre frère. Qui va pourtant par avance lui PARDONNER ?

Choisir Juda c’est tuer le christ, et ainsi la chair de l’humanité jour après jour. Prononciation après mot. Verbe après intention. Chaque fois que ce mot est prononcé il assassine. Par le souvenir qu’il transmet.

Choisir Juda isme fut sans doute l’un des éléments qui parfait la doctrine. Choisir Juda isme fut le symbole de leur combat contre ce qui est humain, au sein même de leur peuple. Choisir Juda isme, c’est comme choisir Hitler isme, et se dire protégé par le fait religieux. Choisir Juda isme, c’est comme déclarer une guerre permanente contre le reste du vivant.

Le Juda isme n’a pas épousé ce nom par hasard, il s’agit du programme politique qui utilise les vices pour faire avancer sa doctrine. Une doctrine, comme le dis Douglas Reed dans la controverse de Sion qui est plus dangereuse que la bombe atomique. Plus dangereuse que la dispersion d’uranium appauvrit. Nous ne sommes plus à l’époque de la poudre, ou des simples explosifs. Nos actes peuvent prendre des aspects “divin” de part leur portée intemporelle.

Que sont les judas ? Juda isme, Les apologues de la mission de Juda. C’est à dire ceux qui vont vendre l’humanité. Les exemples sont permanents. De l’esclavage, à la traite de blanche, au sang et organes, contaminés ou non, ils n’ont jamais arrêté. Les lois ne les concernent pas. Ils ont déformé la parole de dieu, pour l’adapter à leur esprit mesquin, et avide. La loi c’est eux. La loi du monde depuis leur retour en Judée démontre qu’elle a été faite pour eux. Ou plutôt pour plier le reste du monde à leur doctrine. Et faite par eux. L’histoire est claire là-dessus. D’autres ont inventé les arts la musique la médecine, les sciences, eux se sont contenté de développer leur domination de façon plus ou moins visible.

Toutes les lois de moise, ont étés déformées par leur différenciation d’avec l’humanité. Toutes les dix lois que les tablettes portaient, ne sont hypocritement valides qu’entre eux. Quoique les exemples nous démontrent que ce n’est pas vrai et que c’est juste une mascarade. Au contraire ils sont fier de l’escroc, du bandit, de l’inhumain. Même s’il arnaque un autre juif. Bien au contraire, ils trouvent que c’est très malin. La ruse du diable est pour eux un plaisir suprême. Mais la dissimulation reste pour eux le summum.

Hollywood est leur vitrine, c’est le monde tel qu’ils le rêvent, tel qu’ils le façonnent. Mais nous n’avons pas à être jaloux, notre cinéma, et nos télés sont une chasse gardée. Et bien gardée. Une vrai meute.

On a pu les voir mettre en place un alcoolique cocaïnomane, crétin au possible, le manipuler en lui apportant monts et merveilles, et appliquer pendant sa présidence, l’événement le plus dramatisé en direct. L’attribuer de façon immédiate et sans aucune preuve, à un bouc émissaire prêt à point. Et de partout à travers le monde soutenir tous les crimes contre l’humanité qu’ils lui ont fait accomplir, avec leur contrôle très serré.

Et au final, après deux génocides, recevoir ce criminel, vu qu’il est leur pantin et même tenter de le faire passer pour celui qui trouvera la solution au problème palestinien avant la fin de l’an 2008. (Alors que nous savons tous qu’il n’y a pas de problème Palestinien, il n’y a qu’un problème de domination barbare juive sur la Palestine. Feu Yeshashoua l’appelait le Judéo Nazisme. Les mots ont leur importance. Ce n’est pas moi qui me complais à mettre le mot état juif et juif dans chaque phrase qui concerne Israël et bien au-delà. Qu’es ce qu’on en a faire qu’ils soient juifs, leur religion est le dernier de nos soucis. Au contraire si ça peut en faire des gens honnêtes tant mieux. Mais ça n’est apparemment pas le cas d’où leurs cris d’orfraies)

Et ils en sont fiers. Fiers de dire que l’Amérique est sous eux comme un cheval de trait.

Fier de dire qu’ils se la sont appropriée, fiers de leurs ruses et de leurs complots.

Fiers de nous montrer qu’il en est de même sur notre propre territoire, ou que nous soyons. À très peu de différences près. Tant leur influence, et leur bras est long. Fiers de nous démontrer leur toute puissance sur l’information de masse. Ils sont fiers de la puissance, fiers de l’opulence que leur grande intelligence leur a conférée, et que leur élection leur avait promis.

Ils ont donné à la rapine des noms doux et exotiques, à la corruption ses lettres de noblesse. Ça s’appelle la franc maçonnerie maintenant, avant on disait banditisme organisé, ou bien encore illuminati, alors que satanisme lui correspondait parfaitement. Et autres cultes aux noms moins reluisants.

Fier que les plus grands criminels ait étés des leurs.

Fiers de toutes les abominations que leur/s programme/s politique/s a/ont apporté, même si ces choix ont nié les règles qui nous ont tous été données. Même si tuer devenait un acte courant. Même si voler devenait un acte élégant. Même si convoiter devenait un sport amusant. Même si mentir devenait permanent.

Ceux qui ont volé aux israélites la promesse spirituelle, faite par moise de les guider vers le divin, en respectant quelques règles simples, afin qu’ils puissent eux mêmes être des guides pour le reste de l’humanité ? Eux qui ont déformé cette promesse et en ont fait un acte de propriété, qui commence à Sion et qui par la dispersion volontaire, doctrinale ne doit retourner à Sion qu’une fois le reste du monde conquit ? Ce sont ces juifs descendants de Juda, les judas de l’histoire (et ceux qui acceptent d’être reconnus ou désignés comme tel).

Ceux qui glorifient l’impur ? Le geste le plus grave de l’histoire de l’humanité. Ceux qui se disent racialement et spirituellement (pour peu que ces mots puissent servir dans ce cas…) et même nommément, (Juda isme) descendent de celui qui a vendu Jésus. Ceux qui ont choisis ce nom d’après le traitre Juda, (les traitres car il semble en avoir plusieurs…) pour en conserver la résonance, pour que le mot fasse au delà du temps et de l’espace ce même effet. Qu’il soit une insulte permanente au concept même d’humanité. Au concept d’amour. Au concept d’amitié, de loyauté, de droiture et de justice. Un seul mot qui tue le monde.

Omniprésents. Du trafic de la drogue à la traite des blanches les juifs sont partout dans le pire les premiers. Partout dans le monde ils tiennent la prostitution, la drogue, le jeu, le sexe, virtuel ou réel. Je ne parle pas bien sur du dealer de votre quartier, je parle à très grande échelle. Le vice est leur métier. La mort aussi. Et nul sémite là dedans, que des slaves mentalement esclaves déguisés en sémite pour appliquer leur programme nazi, encore une fois. Les israélites mais aussi les samaritains et tant d’autres les avaient rejetés. Il a fallut en embrigader des moins lucides.

Nous remarquerons que ce schéma est le même depuis la plus haute antiquité. Des rois perses qui en firent des puissants à Babylone, à la nomenclature de Russie, aux seigneurs féodaux qui les utilisaient comme collecteurs d’impôts et aux rois qui leur ont finalement donné le droit d’émettre les billets qui devinrent l’argent. Ils sont à toutes les étapes. Tapis, se drapant de sentiments que la bible promet mais que le talmud secrètement dénie. Sauf à eux bien sûr. Ainsi le tour est joué. Conseillant les seigneurs à la convoitise, à la rapine, à l’oppression. Leurs livres sont légions. Une véritable bibliothèque de l’immonde. Qu’ils ne cessent d’alimenter, le dernier et plus célèbre étant le plan pour un nouveau siècle américain. Quel doux symbole. Si plaisant aux oreilles. Et nous n’avons plus de doutes sur ce auquel il a servit. Et sert encore. Qui est en fait un plan israélien des années 80 ou l’on a remplacé Israël par USA, et ou ce sont les américains qui crèvent et massacre à tour de bras, pour finaliser le plan diabolique. Jusqu’à la ruine auquel nous assistons en direct. Jusqu’à la spoliation de ce continents qu’ils avaient eux même spolié. Ruine qui voit tout de même les juda s’enrichir jusquà plus soif. Et l’exemple des oligarques russes nous rappelle que le plan a moins fonctionné de ce coté, et que leur plan a été éventé.

Répétition après répétition leur pièce fut rodée. Et ils l’appliquèrent avec plus de facilité. Avec l’aisance qui leur permet d’accomplir des 11 SEPTEMBRE sans faillir, sans que le retour de bâton puisse même les effleurer. Sans qu’aucune enquête ne soit diligentée. Chaque grand meurtre secret ou non est de leur fait. Sans compter tous ceux qui ont trouvé bouc émissaire, comme ce fut le cas pour le meurtre de Bobby Kennedy. Qui ont le double rôle de les débarrasser d’un rival en se servant de sa mort pour faire grimper la vindicte contre ceux qui à cette époque n’étaient connus que de peu de gens. Tant les médias n’en ont pas parlé. Le bouc émissaire de cette époque n’a pas changé. Un sémite, palestinien “d’apparence”, (je dis d’apparence car l’histoire nous a enseignée qu’elles sont souvent trompeuses, l’exemple de Mustapha Kemal dit Atatürk est criant, désolant sans oublier les israéliens dansants sur le toit de leur camion, se congratulant devant le spectacle des tours dans lesquelles un avion venait de se crasher. Les premiers mots de ces hommes à l’inspecteur de police, furent nous sommes israéliens, nous ne sommes pas votre problème, les palestiniens sont votre problème… le tout déguisées en “arabes“). Bouc émissaire qui par le plus grand des hasards va se trouver catapulté au service d’un président. Mais c’est toute l’ironie de l’histoire juive. C’est son gout de sang et son odeur permanente d’intrigues, qui dénote d’un état avancé de pourriture spirituelle. C’est ce que l’on éprouve quand on est confronté à l’impossibilité de parler du complot du 11 septembre. Ce gout de sang et de pourriture. Ce dégout de découvrir que la liberté d’expression est un mythe, que la démocratie est devenue enfin ce pour quoi elle a été conçue, c’est à dire une illusion. Enfin, car ce n’est pas la démocratie qui a évolué ou régressé, c’est juste nos consciences qui ont changé. Notre attention qui s’est affiné.

La plupart des gens n’ont découvert les actes de Juda sur la Palestine que bien des années plus tard. Ils étaient bien trop occupés avec les actes de Juda sur l’archiduc de trou perdu, acte minime s’il en fut, qui a finit par l’exacerbation répétée de la diplomatie et des médias Juda istes à enflammer l’Europe. Deux guerres mondiales c’est un chaos suffisant pour cacher et porter leur retour à Sion ? Pendant qu’ils construisaient leur Sionistan, le monde se déchirait sous la magouille de leurs financiers, et de leurs doctrinaires. Louis Ferdinand Céline doit décrire cela à merveille. J’espère avoir le temps de le lire.

La première guerre Mondiale leur a fournit la promesse, la seconde l’alibi.

Sur le dos d’innocents qui voulaient à tous prix se mêler au monde, inconscient de tous ces complots. Juste en train d’observer en permanence la prédominance judaiste dans les affaires des pays et des empires. L’Allemagne d’avant guerre croulait sur la corruption et la débauche organisée par les Juda istes. Les noms restent, et les affiches se collectionnent, les médias allemand, pour peu qu’ils puissent porter ce nom, étaient tout autant noyautés et contrôlés que le sont les nôtres. Leur variétés étaient tout aussi débiles que les nôtres, infestées qu’elles étaient. Notre mémoire est intacte, éparpillée à travers la toile du monde. Chacun de nous en est une partie. Et en y contribuant on en multiplie les points d’accès. Vers la conscience collective.

Internet a amplifié l’analyse possible de ce cas d’école qu’est la Palestine, et son problème juif, que certains (Naomi Klein si je ne me trompe pas) vont même jusqu’à assimiler à un laboratoire pour développer leur domination militaire et policière. Une sorte de camp d’entrainement. Pour leur domination de l’homme par l’homme. Triste répétition de la doctrine primale. Ce qu’elle ne dit pas c’est dans quel but. Mais nous n’allons pas lui en vouloir. Elle apporte sa pierre à nous de faire le reste.

Et l’instauration de services policiers aux états unis ou en Europe qui soient de près ou de loin liés à cette barbarie insoutenable qu’est devenue la Douce Palestine en se transformant en Sionistan, n’est pas pour nous rassurer. La homeland administration, et autres sécurité intérieure ne sont pas notre tasse de thé. Juda peut aller s’il veut en Judée. Mais il va lui falloir chez nous se calmer. Car la moutarde commence à monter. Israël est notre frère, mais Juda sera à jamais notre ennemi surtout s’il reproduit à l’identique et à l’infini, ce vice qu’est l’envie. Et autres vices qu’ils tentent de nous insuffler par tous les moyens, culturels et médiatiques. Du moins qui tendent à les généraliser, et à les banaliser.

Heureusement que leur retour en Palestine est l’acte final, et venir ainsi clore leur doctrine. La troisième guerre mondiale étant l’Armageddon.

Dommage qu’ils aient réussit par quelques livres apocryphes à embarquer les chrétiens. Par dépit et surtout rassurés que la “fin du monde“ tout en leur promettant le ravissement voie la fin du Juda et sa conversion en masse au chrétinisme ainsi matérialisé.

Jésus s’est battu contre les marchands et les prêtres du temple ce n’était surement pas pour en créer un autre. Il avait déjà compris que c’est dans ce symbole du pouvoir que nait la corruption.

Quelqu’un a-t-il compris ce plan chez les musulmans, il y a très longtemps, et en a prophétisé la promesse d’un mahdi, libérateur qu’il faut surtout attendre, car au travers de lui tout trouvera sa solution ? Allez savoir ?

Mais revenons à nos moutons… Ils sont en train de le démontrer en reconstruisant les temples. Ou ils vont vendre le pardon. Vendre l’absolution. Vendre l’immoralité et la débauche. Celui que la puissance de l’argent a comblé, n’a nul besoin de respecter les règles puisqu’il peut aller sacrifier et être ainsi glorifié lui même. Le temple est là pour l’absoudre de tous ses péchés. Car dans la loi juive il n’existe pas de crime. Les juifs peuvent tout se permettre, jamais ce n’est analysé. Cette forte propension au génocide, aux meurtres de masse. Leurs criminels sont encore parmi les hommes les plus en vue au monde. Kissinger domine le monde, en étant carrément invité à présider la commission sur le 11 septembre, et la justice ne semble pas trop s’intéresser à celui qui a sur les mains plus de sang qu’un être vivant puisse avoir. Lui ses banquiers de maitres et leur cohortes de politiciens qui les soutiennent les encouragent et bien sur les protègent.

Mais cette fois ci nous allons faire attention. Nous comprenons. Nous allons de plus en plus observer la bête avec des yeux de chasseur. Avec des yeux avertis. Avec les yeux ouverts et l’attention permanente, qu’impose un gibier de cette taille. Un gibier qui est le plus gros prédateur que la VIE (sur terre…) ait connu.

Le premier banquier à Babylone, n’est pas Juda iste pour rien, c’est là qu’a été prise la décision de s’approprier le monde. C’est à Sodome et Gomorrhe que furent exécutés les premiers tests à grande échelle du vice et de la corruption. Outils qui avec la convoitise que permet la propriété, nous livrent pieds et poings liés.

Juda a démontré son inhumanité comme le peuple juif démontre la sienne. Jour après jours. Sans jamais défaillir, sans jamais rien sentir de la douleur du monde qui les environne.

Aucun lieu au monde ne voit plus d’ignominie qu’Israël, ou la plupart des organes d’observation et de surveillance quand ils ne sont pas noyautés par eux, les déclarent comme lauréats dans les domaines des divers trafics de drogue, de fausse monnaie, d’armes, de blanche, de sang (contaminé ou non) et d’organes, et j’en oublie bien des meilleures. Le développement subit du Sionistan se fait dans les domaines de la mort, de la répression, de la surveillance, de la police et de tous ce qui concerne la sécurité. Youtube est dépassé par le filtrage de la pornographie, la pédophilie, et autres joyeusetés semblables.

Partout et à toutes les époques ils sont les maitres des outils qu’utilisent les figurants dictateurs. Ils sont de toutes les négations de liberté, ils sont de toutes les exacerbations de la violence, de la haine et de la différenciation. Le patriotisme est un de leurs outils. Tout autant que la démocratie, qui est des concepts étroitement réduits. Intentionnellement, réduits.

Il n’y a pas besoin de se référer uniquement à l’histoire, il suffit d’observer notre présent. Et de lier les liens manquants. De lier les liens qu’un tabou suprême renforcé par la loi ont rendu flous et incertains. Liens que pourtant des films comme the missings links font et peaufinent, jusqu’à l’extrême.

Nous demandons à cet effet au réseau Surcouf de bien vouloir rester informé des identités des nouveaux maitres de la France policière et juridique. De bien vouloir vérifier par eux même comment les verrous qui vont faire de la France une dictature policière brutale et injuste, sont liés à Juda et à ses méfaits. La preuve est flagrante aux USA. Que le doute soit donc permis. Nous pensons que ce qui s’est déroulé durant le siècle dernier avec les états unis est en train de se répéter de nouveau avec l’Europe oublieuse de ceux qui lui ont valu plusieurs guerres. Nous leur demandons de bien se rappeler que l’atlantisme n’est qu’une façade. Et que la marteler ne fait que mieux le démontrer. La propagande et ses mécanismes étant connus, leur observation méthodique suffit. Nous leur demandons d’être vigilants, devant l’occupation voir le doublement des organes de sécurité. Leur noyautage étant quasiment impossible à contrôler. Le contrôle qui ne doit pas échapper comme aux états unis à la société civile. Pour échouer entre les mains d’une pieuvre invisible. Que des prestidigitateurs habiles, tels que nos médias de masse et leur pendant politique et juridique vont tenter d’occulter.

Nous vous prêterons main forte car la résistance en plus d’être un droit est un devoir.

Le Sionistan aurait pu être le centre du monde, et arriver à établir sa domination judaiste, avec trente ans de plus, mais avec internet les choses se sont accélérées. Ils ne sont plus cachés. Nous avons de nouveau accès à notre histoire, et à l’information. Nous somme enfin capable de faire des thèses et des synthèses avec des éléments qui nous ont étés trop longtemps occultées. Il faut du temps. Certes. Et les événements récents nous portent à croire que nous n’allons plus en disposer autant. Mais nous nous pressons, et avons l’avantage du nombre. L’exponentiel fera le reste.

Les sages de Sion ont du se réunir, et se dire en se lamentant que les choses n’allaient pas assez vite dans leur sens, et qu’un grand danger vennait d’apparaitre. Et que le temps leur était désormais mesuré. D’où sans nul doute cette accélération de l’histoire qu’ils tentent d’influer.

Les exemples historiques de domination judaiste sont innombrables, c’est l’analyse et la synthèse qui étaient alors impossibles. Par absence d’information. Due à leur vigilante censure. Et cette analyse se fait mondialement, je ne fait là que la retranscrire avec mes mots. Mots qui ne m’appartiennent déjà plus quoi que l’on puise me les faire porter, j’ai pu l’observer avec le premier billet sur ce blog, que j’ai eut l’étonnement de trouver sur d’autres blogs, et d’autres pages.

La dissémination de partout a commencé. Et les idées ne peuvent plus être arrêtées. Le livre de Reed et pleins d’autres nous ont renseignés, et nous sommes en train de nous réveiller de ce long cauchemar. Nous sommes en train d’émerger. Notre bibliothèque n’esp plus immonde, nous avons commencé à l’ordonner.

Donc disséminez. Disséminez. Rappelez vous que la propriété n’est qu’une illusion passagère, le temps de la vie, plus souvent, moins.

Il ne venait pas à l’idée des sociétés de s’approprier ce qui les a créés. C’est-à-dire la nature environnante.

L’or ne brille que pour nous inviter à la méditation et la contemplation, sa “sonorité“ vient assez bien compléter ce tableau.

Pas pour nous rendre esclave, et fou d’envie, au point de l’enfermer dans des coffres et encore moins de vendre nos frères pour lui.

Juda par son geste en permanence glorifié, est sans conteste l’ennemi de l’humanité.

Comment 36 Juifs Membres De La Tribu Ont Façonné l'Election Présidentielle US De 2008



AméricanoSionisme Collaborations
Comment 36 Juifs Membres De La Tribu Ont Façonné l'Election Présidentielle US De 2008
Aux US, il n'y a pas que le LOBBY (AIPAC) qui influence la politique US. Le quotidien israélien Haaretz recense 36 juifs américains fortement impliqués des deux côtés dans la campagne présidentielle


Comment 36 Juifs Membres De La Tribu Ont Façonné l'Election Présidentielle US De 2008
Comment 36 Juifs Membres De La Tribu Ont Façonné l'Election Présidentielle US De 2008
Dans la course à la présidence entre John McCain et Barak Obama ce qui a dominé ce sont les problèmes de Wall Street et la capacité de chacun des présidentiables à pouvoir remplir la fonction présidentielle, la question d' Israël est restée dans l'ombre. Mais le vote juif reste un élément clé dans des états disputés, et, les juifs jouent divers rôles pour façonner les campagnes des candidats. Parmi eux 36 sont mentionnés dans une liste ci dessous. Cette liste est loin d'être exhaustive, par manque de place, un grand nombre de juifs qui ont joué une part active dans les campagnes n'y figurent pas - parmi eux le sénateur US du Maryland, Ben Cardin, substitut d'Obama, et le conseiller d'Obama, l'ex membre du Congrès pour la Californie, Mel Levine.

Il manque de même un certain nombre de juifs qui ont joué des rôles mineurs, mais méritent d'être mentionnés pour l'interêt qu'ils ont suscité - en particulier Sandra Froman, la premiere présidente juive de la National Rifle Association (2005-2007 un puissant lobby des armes ndlt) et membre du Comité de Direction de Sportmen for McCain, et Linda Lingle, premiere gouverneur juive d'Hawaii, qui avait auparavant défendu Sarah Palin ( co listière de McCain ndlt)

On doit noté que le nom le plus significatif c'est peut être celui d'un homme mort depuis 153 ans.

Ci dessous la liste par ordre alphabétique.

Sheldon Adelson ; Républicain, néoconservateur et un mega donateur, bien que des déboires financiers et des disputes internes aient altéré sa contribution à l'effort de campagne de McCain.

David Axelrod : chef stratégiste et conseiller en médias dans la campagne d'Obama, il a construit des soutiens de base via une campagne "virale" médiatique, les nouvelles technologies et en insistant sur le thème du changement.

Steven Bob et Sam Gordon : les deux rabbins du mouvement reformé du district de Chicago ont crée Rabbis for Obama, persuadant des centaines de collègues rabbiniques de soutenir publiquement le candidat. L'influence du groupe sur l'electorat juif est difficile a cerner.

Matt Brooks : directeur exécutif de la Coalition Républicaine Juive est tête de liste dans les médias pour répondre sur des problèmes juifs.

Max Broxmeyer : un homme d'affaires qui préside le Jewish Institute for National Sécurity Affairs, une boîte à penser conservatrice, il sert comme président dans la campagne de Mc Cain de la Jewish Advisory Coalition, et est membre du comité national de financement de la campagne du candidat.

Eric Cantor : membre du Congrés pour l'état de Virginie, il y est le seul Républicain juif, a émergé comme principal substitut de Mc Cain pour tenter d'obtenir les voix de la Floride et celles de son propre état.

Laurie David : activiste sur la question du réchauffement climatique qui a produit le film dans lequel Al Gore tient la vedette, "An Inconvenient Truth", ancienne épouse de Larry David créateur de " Seinfeld" et de "Curb Your enthousiasm", l'une des plus prestigieuses collectrices juives de fonds d'Hollywood.

Ira Forman : directeur exécutif du National Jewish Democratic Council, il est la contre partie de Matt Brook.

Barney Frank: membre Démocrate du Congres pour le Massachusett, est l'un des libéraux des plus visibles, et de franc parler au Congres. il est ouvertement gay et une cible fréquente des commentateurs pro McCain, particulièrement sur Fox News, où, parce qu'il tient la présidence du Comité sur les Services Financiers du Congres, on a dit qu'il portait une responsabilité première dans la crise des prêts immobiliers. Il a joué un rôle préponderant dans la négociation du paquet de subventions pour Wall Street.

Malcolm Hoenlien : en principe neutre en tant que directeur de la Conference of Présidents of Major American Jewish Organisations, il a invité Sarah Palin à s'exprimer lors d'une manifestation anti Ahmadinejad à l'ONU, puis a cédé aux pressions et s'est rétracté. On considère qu'il a aidé la campagne de Mc Cain dans le choix fait par les électeurs juifs indécis.

Cheryl Jacobs : il co préside la campagne de Mc Cain dans le County de Broward en Floride, rabbin conservateur, pendant longtemps Démocrate a soutenu la campgne d' Hillary Clinton puis est passé du côté de McCain.

Henri Kissinger : le New York Times a appelé l'ancien secrétaire d'état un " proche conseiller de l'extérieur" de la campagne de McCain. Le candidat l'appelle régulièrement pour avoir des conseils de politique étrangère et avant le débat des vices présidents il a organisé une cession de briefing de haut niveau avec Palin.

Ed Koch: l'ancien maire de New York City reste le symbole en or pour des juifs d'un certain âge. il a soutenu Bush en 2004, et Hillary Clinton pendant les primaires maintenant il soutient Obama.

William Kristol : comme éditeur du magazine hebdomadaire de Rupert Murdoch, le Weekly Standard, journaliste au New York Times et commentateur sur Fox News, c'est une voix néoconservatrice extrèmement influente.

Sherry Lansing : la premiere femme à diriger l'un des plus importants studios d'Hollywood (Paramount) elle est l'une des principales donatrices pour le candidat Démocrate et l'une des principales collectrices de fonds.

Ed Lasky : par le bais du site internet American Thinker, ses articles ont aidé à répandre la campagne de rumeurs largement diffusées sur la soit disant position anti Israël d'Obama.

Henri Lehman : immigrant de bavière, qui s'est installé en Alabama en 1844, à l'âge de 23 ans, et a crée H. Lehman, un établissement qui en acceptant du coton brut au lieu de paiements en liquide l'a amené plus tard au commerce du coton. En 1850, lui et ses frères Emanuel et Mayer ont crée Lehman's Brothers, qui est devenu l'une des premières et l'une des plus puissantes banques d'investissement à Wall Street. L'effondrement spéctaculaire de Lehman Brother's mi Septembre, la plus grande banqueroute de l'histoire de l'Amérique, a provoqué une panique financière mondiale, qui, plus que tout autre facteur, pourrait déterminer les résultats de l'élection présidentielle de 2008.

Joe Leberman Senateur du Connecticut, qui était le co listier d'Al Gore en 2000 pour le parti Démocrate; il est actuellement l'homme clé de McCain pour les électeurs juifs indécis.

Mike Moore : il a lancé Jewsvote.org, en utilisant des méthodes high tech pour contrer des sites web attaquant Obama. Le groupe soutien également The Great Schlep - une campagne pour que les petits enfants aillent rendre visite à leurs grands parents en Floride pour les persuader de voter pour Obama.

Eli Pariser: il est à la tête de MoveOn.org,un groupe liberal ayant un site internet qui a récolté d'importantes sommes pour les candidats démocrates.

Martin Peretz : l'éditeur de New Republic, il a écrit un article ayant eu de l'influence intitulé " Can Friends of Israël - and Jews - trust Obama . In a word Yes" ( les amis d'Israël - et les juifs - peuvent-ils faire confiance à Obama ? En un mot, Oui)

Dennis Prager : ll intervient dans des émissions sur la radio nationale, sans mâcher ses mots avec vivacité, a de l'influence, et malgré quelques reserves sur la campagne de McCain il a jeté tout son poids derrière lui.

Penny Pritzker : elle préside la campagne financière nationale d'Obama. Milliardaire, héritière d'une famille de juifs bien connus comme donateurs, et pionnière dans son soutien à Obama, elle a été critiqué pour son implication dans l'effondrement d'une banque liée aux hypothèques sur prêts immobiliers.

Ed Rendell: le gouverneuer de l'état clé de Pensylvannie, il est ancien dirigeant du Comité National Democrate, et un porte parole à la tête de la campagne Démocrate.

Denise Rich : ex épouse du milliardaire Marc Rich, mondaine, elle est une méga collectrice de fonds pour les Démocrates.

Robert Rubin: le conseiller principal sur l'économie d'Obama, a une connaissance incontestée du fonctionnement de Wall Street, et a été Secrétaire au Trésor dans l'Administration Clinton.

Dan Shapiro : un ancien responsable du National Security Council dans l'Administration Clinton, c'est un conseiller expérimenté sur la politique au Moyen Orient, et un coordinateur du vote juif dans la campagne d'Obama. On dit qu'il a co écrit le discours prononcé par Obama devant AIPAC ( le lobby pro Israël) dans lequel le candidat déclarait : " Jerusalem restera la capitale d'Israël et elle doit restée indivisée" - une déclaration qu'Obama a plus tard partiellement modifiée.

Sarah Silverman :" comédienne de choc" elle était porte parole dans une vidéo du Great Schlep ( voir Mi Moore ci dessus). Son monologue a provoqué un contre clip d'un vétéran comique Jackie Mason.

Alan Solow : juriste de Chicago actif au sein de la communauté juive et dans la Conference Of Présidents. Il est depuis une douzaine d'années supporter d'Obama.

Jon Stewart : animateur d'une émission satyrique de TV " The Daily Show" il est probablement devenu le plus écouté du vote libéral de la nation. Le New York Times a nommé l 'émission de Steward "une authentique force culturelle et politique".

Barbra Streisand : la chanteuse super star, une célébrité libérale juive et une mega collectrice de fonds. Elle avait soutenu Hillary Clnton lors des primaires et soutient Obama depuis la Convention Démocrate. Elle a aussi organsé une collecte de fonds à Hollywood en Septembre, incluant un dîner à 25 800 dollars l'assiette.

Robert Wexler : un substitut clé d'Obama, le membre du Congrès pour la Floride a mené une campagne intensive pour attirer vers Obama le riche électorat du Sunshine State et le détourner de McCain

Fred Zeidman : stratégiste juif de tête pour McCain, il est président du Holocaust Memorial Council des US, et un poids lourd parmi les Républicains juifs.

Bradley Burston et JJ Golberg - 17/10/08 www.haaretz.com

Information complémentaire (source www.haaretz.com )

Sur le groupe de rabins qui ont décidé de soutenir Barak Obama leur motivation, selon ce qu'ils ont écrit : " nous avons mis en jeu notre crédibilité en tant que rabins aimant Israël en endorsant publiquement le Sénateur Obama comme Président à cause des dénigrements et mensonges qui viennent de la partie adverse". ..." Jamais auparavant dans l'histoire des US un groupe de rabins d'une telle importance ne s'est crée pour soutenir activement un candidat comme président."

Sur le vote juif aux US : une étude annuelle a été publiée le mois dernier par le Américan Jewish Committee révélant que selon des estimations les electeurs juifs américains voteront à 57% pour Obama contre 30% pour McCain. Alors même qu'il y a 2% de juifs aux US, 4% des votes lors des élections présidentielles sont des votes d'électeurs américains juifs. Dans certains états, comme la Floride, le vote juif est considéré comme crutial. Plus de 40% des juifs américains participent financièrement aux campagnes présidentielles, ce qui représente 1/5 des donations pour les campagnes.

Introduction, Traduction, complément d'information Myriam Abraham